Google Cloud dévoile son IA révolutionnaire qui licencie plus vite que son ombre
Google Cloud lance la production d’IA à la chaîne
Google Cloud vient d’annoncer le lancement de son tout nouveau programme « IA-Factory », capable de générer d’autres intelligences artificielles en un temps record. L’objectif affiché ? Optimiser la productivité des entreprises et accélérer leur transformation numérique. Dans les coulisses, certains observateurs murmurent qu’il s’agit surtout de produire un vaste écosystème d’IA pour remplacer les derniers salariés humains encore en poste. Selon le département « Innovations totalement désintéressées » de Google Cloud, la technologie est conçue pour rendre obsolète toute présence humaine au sein des entreprises, offrant à terme une automatisation intégrale, des réunions au service comptabilité en passant par la machine à café. Les ambitieux projets de Google Cloud prévoient par exemple de former des IA à la création de messages d’excuse pré-rédigés pour les licenciements, ou encore de rabattre le caquet des employés qui protesteraient en programmant, de manière algorithmique, un discours de « départ sentimentalo-ludique ».
Des experts confirment l’émergence d’une nouvelle ère « 100 % IA »
Face à cette déferlante, certains analystes s’interrogent sur les conséquences réelles de ces avancées. « Je suis bluffé par la rapidité des IA à se créer elles-mêmes », confie le professeur en pseudo-cybernétique Marcel Dupont, du très renommé Institut Franco-robotique. « Nous vivons un tournant décisif dans l’Histoire : non seulement les salariés humains voient leur nombre diminuer drastiquement, mais il se pourrait même que les IA refusent de nous verser le moindre salaire de secours. » D’après de récents rapports, la « vision » de Google Cloud serait d’assurer à ses clients un rendement maximal grâce à une armée d’IA, laquelle convertirait automatiquement les besoins de l’entreprise en algorithmes capables de licencier, de réembaucher et de faire prospérer le chiffre d’affaires en mode turbo. Les différentes directions RH, déjà enthousiasmées par le concept, s’aligneraient massivement sur ce modèle « 100 % automatisé », érigeant ce nouveau système en standard mondial et promettant un avenir où l’efficacité prime au détriment, parfois, du simple fait d’être humain.
