**Marseille Rebaptise la Canebière en « Rue des Pastis 51 » : Un Pari Touristique Audacieux !**

# La Canebière renommée « Rue des Pastis 51 » pour accroître le tourisme

Dans un tour inattendu mais typiquement marseillais, la célèbre Canebière, emblème du centre-ville, va changer de nom pour devenir officiellement la « Rue des Pastis 51 ». Selon la mairie, cette décision inspirée mettra « l’accent sur l’art de vivre marseillais en une seule gorgée ».

## Un hommage au patrimoine liquide

D’après une source bien informée, le choix de Pastis 51 ne serait pas aléatoire. Avec sa proximité géographique de l’usine de fabrication et son héritage prolifique, ce pastis, déjà un pilier des apéritifs marseillais, devient un ambassadeur de la ville. « Les touristes viennent déjà pour la pétanque et le Vieux-Port. Pourquoi ne pas capitaliser sur cette passion liquide ? », a déclaré un conseiller municipal entre deux parties de belote.

Des rumeurs circulent selon lesquelles plusieurs fontaines publiques, notamment celle située en haut de la Canebière, seront temporairement adaptées pour distribuer du pastis. Pour cela, il suffira d’apporter son propre verre, tout en rappelant l’importance de modération.

## Les riverains partagés, mais convaincus par l’anis

Si certains des habitants se réjouissent de ce rebranding audacieux, d’autres craignent une invasion incontrôlable de touristes affluant en tongs sur la Canebière. « Déjà qu’on a du mal à trouver une place sur les terrasses, imaginez après ça », se plaint René, le propriétaire d’un petit bar depuis 42 ans. Mais bon, c’est Marseille, et comme René le résume : « Au pire, ça se finira en tournée générale, pas vrai ? ».

## Le tram transformé en char festif

Cerise sur le gâteau de l’initiative : toutes les rames du tramway traversant la Canebière seront redécorées en chars festifs durant la semaine d’inauguration. À l’intérieur des wagons, un DJ jouera des mashups improbables d’IAM, Patrick Bruel et la fanfare du marché de Noailles. Les voyageurs auront même droit, selon le planning, à des sessions de démonstration de lancer de boules de pétanque pendant le trajet.

Et comme dirait Joseph, terminaliste au Vieux-Port, « Marseille, c’est ça : un gros pastaga et une belle vue sur Notre-Dame-de-la-Garde. »

Dans une époque où l’audace municipal œuvre sans limite, le pari de la « Rue des Pastis 51 » pourrait bien propulser Marseille à la hauteur de ses ambitions… ou au moins attirer plus de passionnés de l’apéro. Santé !

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