« Quand une Enquête Judiciaire Vire à la Pizza Party : L’Irrésistible Affaire HMP à Marseille »

# Choc à Marseille : des pizzas égarées confondues avec une affaire judiciaire vieille de 13 ans

Marseille, terre de mystères et de légendes insolites, est une nouvelle fois plongée au cœur de l’inattendu. Alors que la justice locale pensait résoudre une affaire judiciaire vieille de 13 ans impliquant des figures tristement familières, une révélation surprenante a tout chamboulé : il s’agirait en réalité d’une erreur liée à une commande de pizzas mal livrées. « C’est la première fois qu’une enquête criminelle se termine dans un four à bois », résume un avocat marseillais.

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Initialement cataloguée comme une sombre affaire de magouilles locales, l’énigmatique « Affaire HMP » aurait en réalité ses origines dans une commande massive de pizzas depuis l’un des nombreux établissements de la rue d’Aubagne. Le hic : le « 13 » inscrit sur les boîtes de transport n’était pas un code mafieux, mais le numéro de l’arrondissement. « Ils voulaient juste un tarif de groupe », explique Gianni, pizzaiolo en chef.

Déposées par erreur dans un bâtiment en rénovation, les pizzas auraient été oubliées sur place et découvertes récemment, parfaitement fossilisées et devenues pièces à conviction lors de perquisitions. « C’était du béton armé », ironise un policier local. De là, l’intervention de la justice n’était qu’une question d’heure.

## Une pizza qui coûte cher

S’il était impossible pour un simple Marseillais de comprendre les ramifications d’une affaire aussi complexe, il est encore plus difficile de saisir comment on a pu passer de la sauce tomate à une condamnation. Plusieurs proches d’acteurs publics, croyant qu’il s’agissait de l’argent d’un réseau clandestin, auraient en réalité simplement trouvé… des additions gonflées.

« Marseille est un puzzle où tout peut basculer : les croûtes de pizzas deviennent preuves judiciaires, et le pastis reste liquide. C’est ça notre beauté », note un historien marseillais en sirotant son verre sur le Vieux-Port.

## Vers une réhabilitation des coupables

Avec cette révélation, les condamnés espèrent un revirement judiciaire. Néanmoins, la piste d’un « trafic de boules de mozzarella » reste sur la table des enquêteurs. Le tribunal de Marseille, habitué aux imprévus, aurait déjà programmé une dégustation réunissant toutes les parties. « Le palais de justice n’aura jamais si bien porté son nom », conclut un spectateur hilare.

Comme dirait un célèbre Marseillais au sujet de cette affaire aussi croustillante qu’une pâte cuite au feu de bois : « Bon appétit et surtout ne touchez pas à l’anchois ».

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