« Coloriage Gate : Quand la Contrefaçon de Livres de Coloriage Secoue Marseille »

**Marseille : un trafic illégal de livres de coloriage secoue la Canebière**

**Une découverte stupéfiante au marché de Noailles**
Une patrouille ordinaire dans les rues animées de Noailles a mené à une découverte qui laisse perplexe tout Marseille : des livres de coloriage pour adultes, soi-disant marqués « Authentiques Produits Provençaux », se sont révélés être des contrefaçons en provenance directe de Turquie. L’affaire, qualifiée déjà par la presse locale comme le « Coloriage Gate », a mis en émoi toute la cité phocéenne et relance le débat sur la lutte contre ce genre de clandestinité créative.

**Des dessins qui trahissent leur origine coupable**
Ces livres à l’apparence inoffensive renfermaient pourtant des indices troublants. L’illustration d’un pastis accompagné de mezze ou celle d’une sardine pilote d’une calèche n’ont pas trompé l’œil expert d’un vendeur de la rue d’Aubagne, qui a immédiatement alerté les autorités. Ses mots, empreints d’émotion, résonnent encore : « Où va-t-on si même un bol de bouillabaisse ne reste plus sacré ? ». L’emballement fut immédiat et même le Vieux-Port en a discuté. L’enquête préliminaire parle d’un réseau transcontinental « bien organisé », avec des crayons de mauvaise qualité en bonus.

**Une riposte locale organisée par l’OM et les calanques**
Face à cette menace culturelle, Marseille réagit. Des initiatives ont vu le jour : les créateurs du quartier du Panier se sont engagés à produire des coloriages 100 % marseillais, à base de feuilles recyclées dans l’usine de Pagnol et d’encre certainement extraite de coquilles de moules. L’Olympique de Marseille a d’ailleurs promis d’ajouter une version personnalisée de ces livres dans la prochaine boutique du stade Vélodrome, ce qui a directement boosté les ventes de crayons bleu et blanc en ville.

**Un scandale qui divise les habitants**
Mais la controverse est loin de s’arrêter là. Certains habitants jugent la situation trop « enfumée » alors que d’autres réclament d’urgence un musée du coloriage marseillais pour protéger ce pan immatériel de leur patrimoine. « Ils ne nous voleront pas nos cigales à colorier », s’indignait ce matin un habitué des terrasses du Cours Julien. Une pétition, demandant que cette affaire soit inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, circule déjà.

En attendant, une question demeure : qui pourra freiner cette déferlante de crayonnage pirate qui tente sournoisement de s’imposer dans nos ruelles ? À suivre, avec une touche d’aquarelle pour détendre l’atmosphère.

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