# Cassis a enfin son club de boxe, Marseille tremble pour son titre de capitale du poing levé
Dans une annonce qui a secoué la région, Cassis a inauguré son tout premier club de boxe. La bande côtière huppée du Sud affirme vouloir rivaliser avec Marseille, la cité phocéenne où le noble art a longtemps régné dans les cœurs et les corps. « À nous maintenant d’être les rois des uppercuts sur fond de calanques », a déclaré fièrement une habitante, gantée de rose et particulièrement motivée.
## Boxe et pastis : la recette marseillaise copiée
Marseille, connue autant pour ses coups droits que pour ses shots de Ricard, voit son identité sportive menacée. Le Boxing 15 de Castellas, temple du dépassement de soi en plein cœur de la ville, ne rigole pas : « Vous croyez qu’on va se laisser dépasser par des gens qui ont leur marché aux truffes au lieu de la Plaine ? Les enfants ici apprennent à crocher avant même de marcher », s’est exclamé le coach Aziz, tout en replaçant un sac de frappe dessiné à l’effigie de Pagnol.
En réponse, le club cassidain annonce une innovation : des tournois de boxe suivis de dégustations de vin blanc bio. « On veut un esprit plus chaleureux, plus provençal. Chez nous, après un crochet du gauche, on porte un toast à l’adversaire », détaille un jeune membre en frappant avec vigueur… dans l’air, pour ne pas risquer de transpirer.
## Les Bus de la RTM sur le ring
Mais un autre conflit naît dans les coulisses. La RTM, société marseillaise de transports, insiste pour que ses chauffeurs participent activement à la formation des boxeurs. « Entre les contrôles de billets houleux et les discussions musclées sur les horaires, nos conducteurs sont déjà des athlètes naturels », commente fièrement un représentant. Cassis, dépourvu de bus qui bouchonnent, reste perplexe.
## Le fight final sur le Vieux-Port ?
Face à ces conflits naissants, un tournoi d’union sportive pourrait voir le jour sur le Vieux-Port. Les équipes cassidaines auraient déjà demandé que le combat se déroule tôt le matin, « parce qu’après 14 heures, la lumière n’est pas idéale pour notre teint ». Quant au camp marseillais, leur unique exigence reste que la finale soit arbitrée par Jean-Claude Gaudin en personne, pour « faire rigoler tout le monde un bon coup ».
Affaire à suivre entre coups de poing et coups de soleil !