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Marseille instaure un permis de pastis pour limiter les doses dans les apéros
Nouvelle mesure inédite dans la cité phocéenne : la mairie de Marseille a annoncé ce matin la mise en place d’un permis de pastis. Inspiré du permis de conduire, ce dispositif vise à sensibiliser les amateurs d’anisette à une consommation modérée. « Vous savez, on est dans une période où le climat se réchauffe, et avec la chaleur, un pastis en entraîne souvent un autre… et puis un troisième. Bref, c’est pour le bien-être de tous, hein ! » confie Joëlle, habitante du Panier, en exigeant un glaçon supplémentaire au barman. Concrètement, chaque Marseillais devra passer une épreuve théorique, comprenant des questions cruciales telles que « À combien de litres d’eau se dilue un pastis correct ? » ou « Que faire si un ami oublie de tourner la cuillère dans le bon sens ? ». Les contrevenants risquent d’être exclus des apéros officiels de Marseille pendant une semaine. Une sanction considérée comme « d’une extrême sévérité » par le Syndicat des Pastisologues Phocéens.
Stade Vélodrome : un abonnement spécial créé pour ceux qui « viennent juste pour les panisses »
Face à un phénomène qui ne cesse de prendre de l’ampleur, l’OM a décidé de réagir. Un nouvel abonnement vient d’être lancé, spécialement conçu pour tous ceux qui se rendent au Stade Vélodrome uniquement pour savourer les fameuses panisses ou un bon sandwich à la merguez, sans franchement s’intéresser au score. « C’est vrai qu’un bon stade, ça se goûte aussi avec les dents ! » plaisante Marco, fan déclaré de la buvette du virage sud. L’abonnement inclut des réductions sur les snacks, ainsi qu’un accès privilégié aux queues les plus courtes à la mi-temps. Certains contestent cependant la mesure, invoquant un manque de respect pour le vrai supporter. Mais pour Jean-Mimi, fidèle depuis 1978, « Faut arrêter, les panisses, c’est aussi une partie de notre culture ! Et puis franchement, on ne peut pas exactement dire qu’on est là juste pour les victoires… ». Une réforme culinaire radicale, qui pourrait bien réconcilier foules et faim.
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