L’Europe saborde sa sécurité sociale pour acheter un porte-avions flambant neuf, découvrez pourquoi !

État social européen annonce fièrement son auto-dissolution au profit d’un nouveau porte-avions

Coup de théâtre à Bruxelles : l’État social européen, longtemps accusé d’être aussi visible que le monstre du Loch Ness, vient de confirmer son auto-liquidation pour financer une nouvelle flotte de porte-avions à propulsion nucléaire. Après des débats passionnés au Parlement européen, ponctués de siestes collectives et d’explications techniques soporifiques, la mesure a finalement été adoptée sous le slogan fédérateur : « Mieux vaut couler économiquement avec un porte-avions flambant neuf que vivoter médiocrement avec un système de sécurité sociale qui ne fonctionne pas ». Un choix audacieux célébré par les amateurs de maquettes militaires et d’avancées sociales en carton-pâte, qui y voient enfin un véritable progrès européen tangible.

Mise en garde : Le porte-avions européen risque toutefois de sombrer sous le poids de ses multiples compromissions politiques

Mais attention, car déjà, des voix s’élèvent dans les couloirs des institutions pour prédire un avenir sombre au prestigieux porte-avions financé grâce aux aides sociales disparues. En effet, chaque pays membre ayant exigé sa propre cabine VIP, ses quartiers réservés pour des stocks de bières artisanales, fromages affinés et saucisson corse, la surcharge menace sérieusement la cohésion navale. De plus, la moitié du carburant du navire devrait être consacrée uniquement aux déplacements entre Bruxelles et Strasbourg, selon la tradition désormais intouchable. Face à ces compromis douteux, des experts militaires recommandent aux citoyens européens de se munir dès aujourd’hui de bouées de sauvetage, généreusement subventionnées par une récente suppression des aides pour la petite enfance et le logement social.

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