Didier Retière : un service en mêlée ?
L’annonce du nouveau DTN du tennis français, un certain Didier Retière, ancien rugbyman accompli, fait frémir les courts de terre battue du pays. Selon les premiers bruits de vestiaire, l’objectif serait de renforcer la puissance du service en s’inspirant des techniques de mêlée. Certains joueurs redoutent déjà de devoir enfiler des protège-dents pour réceptionner les premières balles canons. D’autres, au contraire, salivent à l’idée d’un entraînement nouveau genre : se préparer à la levée de balle comme on se préparerait à soulever un coéquipier de 120 kilos. Les amateurs de la petite balle jaune ont également exprimé leur inquiétude quant à la métamorphose possible de leur sport : verra-t-on bientôt des tournois interrompus pour cause de plaquages un peu trop engagés sur la ligne de fond de court ? Les experts, eux, semblent estimer que cette nomination pourrait forger un esprit combatif inédit parmi les tennismen tricolores… quitte à ce que les changements de côté se transforment en véritable défi tactique façon rugby.
La révolution tennistique de la troisième mi-temps
À la Fédération, on se réjouit déjà de la convivialité promise par les “troisièmes mi-temps” qui remplaceraient les traditionnels “après-match” plus feutrés du tennis. Un dirigeant anonyme aurait même déclaré que, grâce à cette approche, la France pourrait enfin rivaliser avec les plus grands en Grand Chelem, tout en conservant ce je-ne-sais-quoi de festif qui fait la renommée du pays. On raconte aussi que de nouveaux équipements, inspirés des crampons de rugby, seraient à l’étude pour aider les joueurs à mieux glisser sur terre battue. Ce mélange improbable séduit déjà les sponsors qui y voient l’occasion de rafraîchir l’image du tennis et d’attirer un public encore plus large. En attendant de voir un ace dégagé en touche, les passionnés préparent leurs plus beaux bandages pour éviter les mauvais rebonds dans un sport décidément en pleine mutation.