Mistral, béton et pastis : la fusion XXL qui secoue tout Marseille !

Une fusion qui fait frémir les calanques

Les habitants de Marseille ne parlent plus que de ça : la fusion annoncée entre Pays d’Aix Habitat et un bailleur privé semble se concrétiser à vitesse grand V, au point de supplanter le ballon rond et la pétanque dans les conversations de comptoir. D’après nos sources (principalement le cousin d’une voisine qui aurait tout entendu à l’épicerie du coin), l’opération avance « contre vents et marées ». Certaines mauvaises langues affirment même que le mistral, vexé de ne pas avoir été consulté, a décidé de souffler encore plus fort sur la cité phocéenne pour protester. « À quand un référendum des gabians ? » plaisante un maire de secteur, ravi d’occuper la scène médiatique. Pendant ce temps-là, quelques Marseillais inquiets craignent de voir débarquer des hordes de promoteurs armés de bétonnières géantes, prêtes à transformer leurs quartiers pittoresques en zones résidentielles ultra-modernes, où le pastis serait servi dans des verres connectés. Mais rassurons-nous, c’est probablement un délire de plus alimenté par le folklore local.

La brise immobilière qui décoiffe le Vieux-Port

Pourtant, tout le monde tente de s’adapter. Les collines environnantes tremblent déjà à l’idée d’une vague soudaine de marteaux-piqueurs, alors que certains promoteurs chantonnent : « Marseille, on arrive ! On va t’offrir la plus belle fusion de tous les temps. » Du côté du Vieux-Port, des pêcheurs plus fatalistes considèrent cette étape comme un nouveau chapitre dans l’histoire mouvementée de la ville, à classer entre la légende de la sardine qui a bouché le port et le passage de téléphériques imaginaires promis un jour par un adjoint au tourisme. Le plus cocasse, c’est que d’ici quelques mois, il se murmure que le mistral aura peut-être raison des plus grands projets. Mais pour l’instant, à en croire les experts locaux, seule la fusion Pays d’Aix Habitat / bailleur privé semble inarrêtable, telle une bouillabaisse bouillonnante prête à envahir chaque recoin de la métropole, faisant de Marseille la capitale mondiale de la mèche de béton dressée au vent.

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