Trumponomics : Quand les Droits de Douane se Mettent à la Danse
Voilà qu’au pays de l’Oncle Sam, on pensait avoir tout vu : des concours de hot-dogs, des rodéos en plein air et même un championnat mondial de pédalo sur l’Hudson. Mais avec les désormais célèbres Trumponomics, les Américains viennent d’innover dans un tout autre registre : revisiter le classique « un pas en avant, deux pas en arrière », version droits de douane. Imaginez un immense bal économique où, d’un côté, l’administration instaure des taxes flamboyantes sur le fromage importé et, de l’autre, les producteurs locaux soufflent dans le cornet pour tenter d’alléger leurs pertes. Pendant ce temps, les citoyens, complètement perdus par la chorégraphie, se demandent s’ils doivent troquer leur cheeseburger contre un sandwich au beurre de cacahuète par simple solidarité nationale. Les danseurs, quant à eux, ne savent plus à quel rythme avancer, tant les mesures changent au gré des tweets et des déclarations intempestives. Résultat : un chaos comique où les fermiers du Midwest brandissent leurs billets d’avion pour le Mexique et où certaines multinationales n’hésitent plus à faire du troc pour contourner les méandres de ces tarifs facétieux.
Quand la Bourse Fait des Claquettes sur Wall Street
Le spectacle se prolonge dans la salle de marché où, entre deux gorgées de café ultra-strong, les traders sont sur le qui-vive, prêts à faire des claquettes à la moindre annonce présidentielle. Un jour, les actions grimpent et se prennent pour des fusées en partance pour Mars, le lendemain, elles s’écroulent plus vite qu’une pyramide de donuts mal empilés. Il faut dire que, dans la valse des Trumponomics, personne ne sait réellement qui donne le tempo : est-ce le retour des usines en Pennsylvanie, les taxes sur les baskets chinoises ou un nouveau plan de relance qui se transforme en coup de poker géant ? Toujours est-il que la population, épuisée par ces mouvements dignes d’un grand écart, observe ce cirque avec un mélange d’amusement et d’anxiété. On en viendrait presque à regretter le temps où les cassoulets importés ne faisaient pas trembler la Maison-Blanche, et où la Bourse tenait plus du marathon que de la danse acrobatique.