La « rappeuse du sonnet » : l’incroyable phénomène de 18 ans qui électrise la Canebière !

La poétesse qui bouleverse la Canebière

Marseille a beau être connue pour son accent chantant, son Vieux-Port et ses matchs légendaires, personne ne s’attendait à ce qu’une jeune poétesse de 18 ans, Myriam Loussif, vienne bousculer la vie locale à grands coups d’alexandrins. À peine sortie de l’anonymat, cette jeune prodige a déjà secoué les cafés littéraires du Panier, où le pastis s’est soudainement trouvé un nouveau compagnon poétique. Selon des témoins oculaires, certains amateurs de pétanque auraient interrompu leurs parties pour écouter, médusés, les rimes percutantes de celle que l’on surnomme désormais “la rappeuse du sonnet”. Le tout, bien sûr, ponctué de cette intonation marseillaise unique en son genre, qui se mêle si bien aux strophes passionnées. Dans une ville où l’on croyait avoir tout vu — surtout avec l’arrivée de la bouillabaisse en tube — voilà que l’art de la rime s’invite en maître. Des brochures spéciales mettent en avant ses vers enflammés, racontant Marseille avec plus de ferveur encore qu’un supporter de l’OM pendant un match décisif.

Une inspiration plus redoutable qu’un mistral capricieux

C’est à La Plaine qu’on raconte l’histoire la plus insolite : Myriam, au détour d’une ruelle, aurait réuni autour d’elle un public bigarré d’habitants hypnotisés par son univers poétique. D’ordinaire prompts à râler pour un brin de vent, même les boulistes grincheux en ont lâché leurs cochonnets. Certains affirment que son inspiration serait née du mélange subtil entre le vacarme des klaxons, la douceur des odeurs de socca (importée, certes, mais adoptée) et les couchers de soleil sur la rade. Pour couronner le tout, sa plume semble résister à tous les coups de mistral, comme si chaque rafale ne faisait que gonfler un peu plus sa créativité. Désormais, on ne regarde plus Marseille de la même façon : on se surprend à guetter un nouveau texte sur un vieux mur, une strophe cachée dans un repli de journal, ou un vers planqué derrière une barquette de sardines grillées. La ville, ivre de lyrisme, attend impatiemment chaque nouveau poème comme elle guette un but victorieux : dans l’espoir d’exulter d’une joie incommensurable.

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