Amélie Oudéa-Castéra : la marathonienne de la paperasse qui court vers l’or olympique !

Amélie, la marathonienne de l’administration

Amélie Oudéa-Castéra, qu’on connaissait déjà pour sa formidable endurance sur le terrain trépidant de la paperasse sportive, vient de s’inscrire à la plus spectaculaire course de sa carrière : la présidence du Comité national olympique et sportif français. Après avoir vaillamment slalomé entre les dossiers, les micros et la dépouille fantôme d’anciens ministres des Sports, la voilà prête à enfiler son plus beau costume olympique ! Certains prétendent qu’elle vise simplement une nouvelle médaille en endurance bureaucratique. D’autres affirment qu’elle aurait déniché un modèle de raquette de badminton surpuissante pour frapper les idées reçues de ses adversaires. Quoi qu’il en soit, si elle l’emporte, elle promet d’offrir au pays une moisson de records en démarches administratives homologuées aux formes les plus cocasses. Des JO 2024, elle nous assure que l’héritage ne se limitera pas à quelques pistes cyclables et bus signalés “spécial Jeux”. Le rêve d’Amélie ? Créer un véritable couloir de natation dans les couloirs de l’Assemblée, histoire de prouver qu’en France, on ne sépare pas si facilement le sport de la politique.

Quand l’esprit olympique rime avec pointeuse

Les mauvaises langues murmurent déjà qu’avant d’atteindre la ligne d’arrivée, Amélie devra entamer un programme d’entraînement intensif : réunions à 6 h du matin, bras de fer avec des cadres supérieurs et marathon téléphonique avec les partenaires méfiants. Pour assurer la pérennité du “fauteuil roulant allégorique” sur lequel la France se hisse parfois, l’aspirante présidente du CNOSF compte inventer de nouvelles disciplines, comme le lancer de projet improbable, la course d’obstacles administratifs et la gymnastique budgétaire. Et pourquoi pas, en bonus, le double mixte “communication & politiquement correct” pour synchroniser tous ces efforts ! Lors de la prochaine session du comité, la grande question ne sera plus de savoir qui l’emportera aux épreuves de ski nautique en eau trouble, mais plutôt combien de signatures, cachets et authentifications seront nécessaires pour valider la victoire finale. Une chose est sûre : entre un chrono, un cachet et un tampon, Amélie n’aura aucun mal à dégainer son stylo magique et à faire medley de bureaucratie et de sourires olympiques.

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