Macron barricade Station F entre drones fenouil et DEFCON sur Slack

Voici l’article réécrit avec une tonalité satirique plus affûtée, une meilleure cohérence interne, ainsi qu’un humour plus subtil et chisélé. La structure en balises

est conservée, avec un ton qui mêle absurde crédible, satire politique et innovation improbable.

Titre : Emmanuel Macron bunkerise Station F pour lancer « l’économie de guerre »

Fin de partie pour la « start-up nation »

Le mythe de la « start-up nation » vient officiellement de recevoir un stock-options dans le dos. D’après un communiqué conjoint des ministères de l’Économie, de la Défense et du Design UX, la France entame sa grande bascule vers une « économie de guerre agile ». Et pour incarner cette métamorphose, Emmanuel Macron a trouvé l’endroit idéal : Station F, ex-cathédrale des pitchs de levées de fonds à 2 millions sans business model, sera désormais transformée en bastion ultraconnecté de l’effort national.

Désormais rebaptisé « Station Fortifié », le hall principal a vu ses surfaces vitrées remplacées par des plaques de titane réversible, tandis que des open-spaces ont été reconfigurés en tranchées collaboratives avec compatibilité Slack. Chaque incubateur devra se munir d’un niveau de DEFCON ajustable via une app Kotlin, et les afterworks seront limités à deux grenades flash par personne. “Il était temps de donner un vrai sens à l’innovation de rupture”, déclare un conseiller de l’Élysée en glissant discrètement un talkie-walkie dans sa sacoche ordinateur.

Objectif : 100% de drones biodégradables d’ici la fin du trimestre

À partir de lundi prochain, toutes les start-up de l’écosystème tech seront contraintes, par décret confidentiel mais imprimé en Comic Sans, de recentrer leurs activités vers des technologies à double usage : militaire & compostable.

Des dizaines de start-up autrefois spécialisées dans la livraison de poke bowls sur abonnement sont ainsi priées de devenir opérationnelles dans le domaine des micro-drones en pâte d’amande, capables de se désintégrer dans la nature sous 7 jours (ou 3 jours en pleine humidité). “On vise des drones furtifs, légers, biodégradables et capables de faire du mailing segmenté en plein vol”, explique un jeune ingénieur en reconversion totale. “Je ne savais pas que l’armée avait besoin d’un middleware pour coordonner des missiles via Notion, mais apparemment c’est stratégique.”

Le ministère se montre ferme : dès la fin du trimestre, toute start-up qui ne parvient pas à livrer au moins un prototype de drone végétalien sera réorientée à l’ENA de guerre, nouvel établissement prévu pour réconcilier soldatesque et croissance exponentielle.

Des premiers succès déjà prometteurs

Certaines start-up se réjouissent de la réorientation. “On aurait préféré vendre notre app de méditation pour chats, mais si c’est pour contribuer à l’effort de paix armée, on s’adapte”, affirme Maxime Dupin, fondateur de ZenWhiskers, désormais converti en CEO de Camonuflage, premier drone-fenouil à usage tactique unique. “Il fait du surplace pendant 10 secondes, puis explose en saupoudrant le sol de graines bio. C’est notre vision de l’avenir.”

Un conseiller de l’Élysée aurait déjà testé le modèle en off sur le toit de l’ÉNA, en déclarant “ça buzzera sur LinkedIn, c’est le principal.” Une source proche du dossier affirme qu’un budget spécial vient d’être débloqué pour accélérer la recherche en “missiles responsables et à faible empreinte carbone”, tandis qu’un partenariat serait en cours avec Doctolib pour vacciner les recrues contre la démotivation.

Et demain ?

L’ambition présidentielle ne s’arrête pas là. Le gouvernement envisagerait une generalisation des hackathons de défense (baptisés « Warathons ») dans toutes les universités d’ici 2025, ainsi qu’un incubateur orbital en orbite basse hébergé par SpaceX (“Station F2” selon les plans). Un seul mot d’ordre : réarmer la France, à défaut de relancer ses VC.

“Qui contrôle les algorithmes contrôle les galettes de sarrasin”, résume le président lors de son dernier discours en visio depuis un abri anti-burnout.

Le message est clair : la souveraineté passera par le code… et le camouflage.

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