Économie de guerre: Station F devient bunker, forme des hackers de chars

La France bascule dans une économie de guerre

Alors qu’Emmanuel Macron avait érigé la « Start-up Nation » en colonne vertébrale de la politique économique française, le Président de la République vient de franchir une étape radicale en annonçant la transition vers une « économie de guerre ». Selon l’Élysée, cette métamorphose viserait à « muscler » la souveraineté nationale et anticiper toute menace future, qu’elle soit militaire ou digitale. Au cœur de ce tournant, Station F, jusqu’ici temple glorifié des jeunes pousses, serait bientôt réaménagée en véritable bunker numérique équipé de murs blindés et de pare-feu ultra-avancés. Les premiers responsables du projet affirment que cette transformation colossale permettra de former des entrepreneurs aguerris, capables de créer des technologies destinées à répondre aux conflits modernes… mais aussi à « hacker » les chars adverses si la situation l’exige.

Des start-up prêtes à « pirater » les tanks ennemis

Selon les rares fuites parvenues dans la presse, des sessions de formation accélérée seraient déjà proposées à quelques élus pour perfectionner l’art du cyber-détournement d’armes lourdes. « Nous voulons un bataillon d’ingénieurs prêt à pirater à distance n’importe quelle pièce de blindé », confie un expert autoproclamé en cybersécurité, arborant fièrement un badge orné d’un logo mi-casque militaire, mi-puce électronique. L’ambition affichée du gouvernement ? Développer de nouveaux modèles économiques basés sur le contrôle et la neutralisation de véhicules de combat, tout en promettant aux futurs acteurs de ce marché une carrière florissante. Dans cette ambiance de surenchère technologique, l’idée d’une simple levée de fonds se transformerait en « financement stratégique pour la patrie », faisant grincer des dents certains sceptiques, soucieux de voir les start-up françaises passer du statut d’innovateurs inspirés à celui de « petits soldats du digital ».

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