Google dévoile un Hyperordinateur si avancé qu’il commence à facturer les utilisateurs avant même qu’ils aient une idée
La nouvelle prouesse technologique de Google Cloud
Le géant du web vient d’annoncer la mise à jour la plus audacieuse de son IA Hypercomputer, intégrée à Google Cloud et censée révolutionner le développement de l’intelligence artificielle générative. Selon les responsables du projet, ce système repousse toutes les limites connues en étant capable de prélever un montant forfaitaire dès l’instant où un utilisateur envisage vaguement de penser à un concept novateur. Cette prouesse reposerait sur un algorithme prédictif si puissant qu’il peut anticiper toute illumination créative, la taxer à la source et régler le montant sur la carte bancaire du client avant même que celui-ci n’ait le temps de formuler son idée. Officiellement, Google explique vouloir « encourager l’inspiration tout en maximisant la productivité », ce qui impliquerait de monétiser les ébauches cérébrales pour qu’aucune fulgurance ne soit gâchée. Les premiers retours d’utilisateurs sont mitigés, certains saluant la performance, d’autres se faisant déjà débiter pour des inspirations qu’ils n’avaient qu’à moitié formulées.
Une innovation saluée et redoutée par les experts
Les observateurs du marché s’interrogent sur l’impact global de cette approche. Certains évoquent un bouleversement sans précédent, où la moindre diversion imaginative induirait une carte de crédit à découvert, tandis que d’autres y voient une aubaine pour stimuler le génie inventif mondial. « L’Hyperordinateur apporte une démocratisation de la pensée payante, et c’est peut-être ce dont l’humanité a besoin », affirme avec enthousiasme le professeur Lucien Clavier, spécialiste autoproclamé de l’innovation tarifée. Toutefois, de nombreux développeurs redoutent déjà une course effrénée à la rentabilité : il se murmure que la prochaine version de l’Hyperordinateur sera capable de créer et de breveter des idées à la place des usagers, tout en facturant des frais d’abonnement mensuels pour l’accès à sa propre créativité. Si tous s’accordent à dire que cette avancée fera date, il reste à savoir si les esprits novateurs du futur seront disposés à payer chaque fois qu’une étincelle surgit dans leur cerveau.