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**Titre principal :**
Des Français se mettent à investir dans les dividendes : la nouvelle mode pour enfin “gagner sa vie en ne rien faisant”
Une révolution économique portée par la digitalisation et la quête de la paresse noble
Dans un contexte où la recherche de confort et d’aisance financière atteint des sommets, une nouvelle tendance semble émerger dans l’Hexagone : l’investissement massif dans les dividendes, ces rémunérations versées aux actionnaires sans même qu’ils aient besoin de lever le petit doigt. Alors que l’économie mondiale oscillait entre crises énergétiques et débâcles boursières, les Français ont trouvé une solution simple : se faire payer pour ne rien faire. Selon une étude récente, ils sont désormais des milliers à transformer leurs comptes en véritables « usines à dividendes », croyant dur comme fer qu’il s’agit là d’un métier d’avenir plutôt que d’un moyen détourné de procrastiner légalement, voire d’un nouveau phénomène socio-économique.
Une activité lucrative et décomplexée, selon les experts : “Enfin un secteur où l’on peut pratiquer la paresse en toute légitimité”
Les profils de ces nouveaux investisseurs ont de quoi faire sourire, voire susciter l’étonnement : jeunes diplômés en quête de « l’indépendance financière » sans vouloir bosser, retraités astucieux, ou encore des employés à mi-temps qui ont compris qu’un bon dividende peut faire office de retraite anticipée. Un expert en finance, le Dr Éric Moucharabieh, salue cette tendance : “C’est une véritable révolution dans la façon dont on perçoit le travail. Ici, le métier, c’est de ne rien faire, tout en étant payé. Si l’on peut gagner sa vie en étant payé à ne pas produire, pourquoi se fatiguer ?” En somme, certains voient dans cette nouvelle religion financière la possibilité d’un “art de vivre” alliant farniente et rentabilité, oubliant que derrière cette simplicité apparente se cache une stratégie souvent complexe, mais peu importe, l’essentiel étant de pouvoir afficher fièrement un graphique en croissance tout en sirotant un cocktail sur sa terrasse.
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