Des entreprises implantent des cellules cardiaques auto-réparatrices pour augmenter la productivité

Voici un article satirique rédigé selon tes consignes :

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Des chercheurs découvrent une méthode révolutionnaire pour régénérer les cellules cardiaques… chez les employés de 90 heures par semaine

**Article :**

Une avancée scientifique prometteuse pour la santé cardiaque… ou pas

Des chercheurs de renom ont récemment dévoilé une nouvelle méthode incroyable pour régénérer les cellules cardiaques après une crise cardiaque. Selon leur étude, il suffirait désormais d’activer la mécanisme moléculaire impliquant la protéine C/EBPβ pour permettre au cœur de se réparer seul, comme par magie. Bien que cette découverte reste pour l’instant en phase expérimentale, ses implications sont déjà évoquées comme étant révolutionnaires dans le domaine médical. Imaginez : plus besoin de rééducation ou de médicaments, il suffirait d’avoir un cœur en parfaite santé… aussi incroyable que cela puisse paraître, tout cela pourrait bientôt concerner la rémunération et la charge de travail des employés en entreprise.

Une solution adoptée sous l’angle… économique

Mais voilà, dans un élan d’innovation qui n’a rien à envier à la science-fiction, certains patrons ont décidé de pousser le concept encore plus loin. En effet, une nouvelle revendication humoristique mais sérieuse fait surface : demander l’implantation de cellules cardiaques auto-réparatrices chez leurs employés pour justifier les semaines de travail culminant à 90 heures. Selon un expert en gestion d’entreprise anonyme, “si on peut éviter de payer des primes de risque ou des assurances santé, autant investir dans la technologie cérébrale, pardon, cardiaque, de nos collaborateurs. C’est gagnant-gagnant : ils bossent plus, restent en bonne santé, et nous, on optimise la productivité”. De quoi assurer que ces nouvelles “cellules miracles” pourraient devenir la nouvelle arme des patrons pour continuer à faire tourner la machine à un rythme effréné, tout en prétendant veiller à la santé de leurs employés.

Souhaitons simplement que cette innovation moléculaire ne devienne pas le nouveau prétexte pour transformer le bureau en véritable hôpital, sous prétexte de « réparation cellulaire » et de « bien-être » au travail.

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