Donald Trump propose un tournoi de golf pour conclure le conflit israélo-palestinien

Donald Trump veut résoudre le conflit israélo-palestinien… à coups de fers 9

Un nouveau sommet sur le green

La communauté internationale est à nouveau suspendue aux initiatives les plus improbables pour apaiser les tensions au Proche-Orient. Tandis que la diplomatie traditionnelle peine à faire avancer les discussions autour d’un cessez-le-feu durable, une proposition inattendue vient secouer les couloirs de l’ONU : Donald Trump, ancien président des États-Unis et actuel président du Trump Golf & Ice Cream Group, veut organiser un tournoi de golf pour réconcilier Israël et Gaza.

« Toutes les grandes guerres ont pris fin autour d’une table ; moi, je propose qu’elle ait des trous et un drapeau au milieu », aurait confié Trump à une poignée de journalistes, avant de confondre la bande de Gaza avec un bunker mal entretenu sur son parcours floridien. Selon des sources proches de sa casquette, ce sommet sportif serait baptisé “Fairway to Peace” et accueillerait les délégations israélienne et palestinienne pour un affrontement diplomatique en dix-huit trous.

Des règles adaptées à la géopolitique

Le tournoi devrait inclure des règles personnalisées pour maximiser le dialogue : aucun joueur n’a le droit de crier “Fore !” sans proposer dans la foulée une résolution à double majorité ; les balles perdues dans la zone tampon compteront comme sanctions de l’ONU ; et le trou 13, surnommé “Accord d’Oslo”, ne pourra être terminé que si les deux camps acceptent de partager le même putter.

En guise d’arbitre impartial, Elon Musk aurait accepté de « robotiser l’échange », en envoyant un drone Tesla entre les trous pour ramasser les clubs volants et diffuser les ralentis sur X (ex-Twitter), rebaptisé pour l’occasion “XX – Extrême Diplomatie”. Musk aurait proposé que le joueur qui prononce le mot “paix” le plus de fois en 90 minutes obtienne un abonnement gratuit à tous les futurs vols habités vers la Lune, « au cas où l’entente échouerait ici-bas ».

Des polos, de la paix et un trou sponsorisé

Le professeur Aloïs Bichon, auteur de La Guerre froide, mais en short, salue cette tentative : « De toute façon, rien n’a fonctionné depuis 70 ans, pourquoi pas un birdie géopolitique ? » Selon Bichon, le port obligatoire de polos assortis à l’effigie de la colombe renforcerait « la conscience d’équipe mondiale ». D’autres experts restent plus sceptiques, notamment sur l’idée du “trou 18 – Trou de la Paix”, sponsorisé par une division crypto de SpaceX, qui se jouerait en silence dans une prairie artificielle arrosée aux larmes de licorne, selon les documents préparatoires.

L’événement, bien que décrié par certains diplomates plus habitués aux tables carrées qu’aux greens vallonnés, rencontrerait un certain engouement sur les réseaux. Un ambassadeur aurait déclaré, sous couvert d’anonymat : « Au point où on en est, si taper dans une balle peut éviter qu’on tape sur autre chose, on est preneurs. »

La diplomatie spectacle, mais avec des crampons

Cette initiative, aussi improbable qu’une paix durable arrachée au 19e trou, semble surtout symboliser une époque où la communication l’emporte sur la complexité. Elle s’inscrit dans cette tendance montante qu’on appelle désormais le « sportwashing diplomatique », une tentative de laver les conflits à l’eau tiède d’un événement télévisuel, entre deux pubs pour des montres suisses.

Reste une grande inconnue : quel est le programme B si le tournoi échoue ? Donald Trump, interrogé sur cette éventualité, aurait déclaré : « Facile. On passe au mini-golf. Le Moyen-Orient est peut-être trop vaste pour un 18 trous. »

L’ONU, elle, n’a pour l’instant émis aucun commentaire officiel, mais a discrètement commandé un set de clubs. Pour “se préparer à tous les scénarios”.

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