Niro dévoile son autobiographie en slip : la vérité sans filtre ni pantalon

Niro annonce une autobiographie « à nu » : “Rien à cacher, même pas le string”

Un nouvel exercice de sincérité (très) déshabillé

C’est sur Instagram que le rappeur Niro, connu pour ses textes bruts et son franc-parler, a stupéfié ses abonnés ce matin. Dans une vidéo d’une minute en noir et blanc, l’artiste apparaît dos à la caméra, vêtu d’un string léopard (modèle « La vérité ne veut pas de pantalon » selon ses dires), et annonce la sortie prochaine de son autobiographie sobrement intitulée : “Brut de slip”.

Selon l’artiste, l’ouvrage promet d’être “le récit sans filtre d’un parcours sans artifice – sauf peut-être l’élastique de taille M.” Il ajoute : “J’ai déjà tout dit dans mes sons, mais là je voulais le dire autrement. En sous-vêtements. Pour montrer que je suis vrai jusqu’au bout du coton.”

Le livre “le plus honnête de la décennie” selon lui (et selon personne d’autre… pour l’instant)

Dans ce récit autobiographique à paraître chez Édition Point Barre, Niro revient sur son enfance, sa carrière, ses doutes, ses punchlines. L’objectif : briser les tabous, déconstruire les mythes et surtout, casser les codes littéraires, vestimentaires et thermiques.

Contactée pour réagir, son attachée de presse confirme : “Oui, l’auteur posera nu lors de la séance dédicace, mais dans une nudité cérébrale. Il portera un peignoir intérieur, à l’âme. C’est conceptuel.”

Une démarche artistique “post-habillée”

Dans une interview fictive accordée à Télérama (probablement imaginée par son équipe), Niro explique sa démarche : “Dans un monde où tout le monde ment vêtu, je choisis de dire la vérité presque nu. C’est pas de l’exhibition, c’est de l’édition.”

La démarche s’inscrit dans une tendance plus large d’“authenticité extrême” chez les artistes. Après les selfies sans maquillage, les podcasts intimes et les albums chantés à voix basse dans la salle de bain, l’autobiographie en slip serait-elle la nouvelle frontière du storytelling sincère ?

Un extrait déjà disponible : “J’ai commencé à rapper avec un bonnet et beaucoup de pudeur”

L’extrait du premier chapitre a été diffusé sur les réseaux. On y lit notamment :

“Je voulais gratter mes fautes, pas mes vêtements. Mais tôt ou tard, il faut tomber la veste. Et parfois le jean. J’ai appris que dans ce game, t’es crédible uniquement si t’enlèves tout. Même ton confort thermique.”

Le livre promet également une analyse détaillée de sa première punchline à l’âge de huit ans, une introspection sur ses baskets fétiches, et cinq pages entières dédiées à “l’impact existentiel de porter un Marcel en janvier”.

Déjà des réactions dans le monde de la culture

Les premières critiques sont mitigées. Pour Télérama (la vraie, cette fois), “c’est déroutant, mais plus honnête que certains essais politiques récents.” À l’inverse, Le Figaro s’interroge : “À quand Houellebecq en boxer pour parler d’amour ?”

Booba, de son côté, a répondu sur X (ex-Twitter) : “Le string n’a pas de couilles, Niro si. Force à lui.”

Sortie prévue : très bientôt, ou dès qu’il ose finir le dernier chapitre

“Brut de slip” paraîtra en librairie courant septembre, accompagné d’une tournée de promotion intitulée “Confidences en tissu minimum”. À noter : chaque exemplaire sera livré avec un string collector brodé de la citation “T’as aimé mes sons ? Tu vas adorer mes jambes.”

Le livre est déjà en rupture de stock sur Amazon avant même sa mise en vente, sans doute pour des raisons logistiques, éthiques, ou thermiques.

Affaire à suivre… en string.

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