Voici un exemple d’article satirique respectant les consignes :
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**Marseille lance le « Concours de la maison qui tient » pour sensibiliser à la stabilité des immeubles**
Une initiative pour renforcer la sécurité immobilière à Marseille
Face à l’éternel défi de la gestion urbaine, la municipalité de Marseille a récemment annoncé le lancement d’un concours inédit intitulé « La maison qui tient ». Destiné à sensibiliser les habitants aux risques d’effondrement, ce concours prévoit de récompenser la famille ou le voisinage dont la maison tient le plus longtemps sans nécessiter de travaux de réparation ou d’entretien. La Mairie, préoccupée par la fragilité de certains bâtiments anciens et par la réputation locale, a déclaré que l’objectif est de « promouvoir une prise de conscience ludique tout en encourageant un entretien régulier ». Une commission composée d’architectes, de sociologues et de comédiens sera chargée d’évaluer les constructions selon des critères mystérieux tels que « la poésie du vieillissement » et « la capacité à résister à l’hiver méditerranéen ».
Une approche révolutionnaire pour éviter les risques, selon un expert fictif
Selon l’éminent professeur en ingénierie douce et en gestion des crises fictives, Jean-Michel Tapin, cette initiative surprenante pourrait transformer la gestion des immeubles précaires : « La clé, c’est de transformer la sécurité en un jeu, tout en mettant en avant la résilience culturelle. Si un mur peut survivre à plus de cinq hivers sans s’effondrer, il peut peut-être aussi survivre à une tempête ou à un maire peu attentif. » Lorsqu’on lui demande si cette compétition pourrait réellement améliorer la sécurité des habitants, M. Tapin souligne avec enthousiasme : « La simple idée que l’on récompense la ténacité des murs plus que leur solidité prouve qu’on peut faire beaucoup avec peu, surtout à Marseille où la stabilité est souvent une question de courage… ou d’audace. » La municipalité espère ainsi faire entrer la maison dans une nouvelle ère, où le seul objectif est de faire durer le plus longtemps possible des bâtisses en décomposition, tout en encourageant la créativité locale, et pourquoi pas, en faisant du city-stade de la dégradation une attraction touristico-citoyenne.
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