Titre principal : Nora Preziosi conteste son éviction de 13 Habitat et annonce la création de « 14 Habitat » avec des loyers à l’image de l’égo de ses dirigeants
Un litige sérénieux entre Nora Preziosi et le département des Bouches-du-Rhône
Dans une démarche digne des plus grands procès rocambolesques, Nora Preziosi, ancienne présidente de l’office public HLM 13 Habitat, a décidé de contester devant la justice sa mise à l’écart décidée par le département. Selon ses déclarations, cette éviction serait une « atteinte à la démocratie interne du logement social » et devrait être revue à la hausse, du moins en termes de contestation. Le tribunal de Marseille a été saisi d’un dossier qui, selon l’avocate de Mme Preziosi, « dépasse les limites de la simple gestion administrative pour entrer dans le domaine de la philosophie existentielle des institutions ». La tentative d’éviction, qui aurait pour motif supposé une gestion jugée « trop inclusive », ne semble pas avoir convaincu l’ancien pouvoir en place, qui préfère pour l’instant garder le silent block… jusqu’au prochain épisode judiciaire.
Une réponse hautement innovante : la création de « 14 Habitat » et ses loyers personnalisés
Face à cette mise à l’écart, Nora Preziosi a annoncé la naissance d’un tout nouvel acteur dans le monde du logement social : « 14 Habitat », une filiale qui promet des loyers parfaitement ajustés à l’égo de ses dirigeants. Selon ses propos, cette nouvelle entité administrera des logements où le montant du loyer sera fixé selon « l’estime de soi et la visibilité médiatique de ses responsables ». Un expert en immobilier, le Professeur Éric Paillettes, témoigne : « On franchit une étape véritablement innovante, voire révolutionnaire, dans la gestion du logement social. Imaginez un loyer qui augmente si votre chef de projet se considère comme le meilleur dans son domaine, ou qui baisse si son selfie Instagram reçoit moins de likes. » Nora Preziosi assure que cette stratégie permettrait de « valoriser l’individualité tout en permettant aux locataires de mieux s’identifier à leur plafond de loyer ». Visiblement, la politique du logement prend un tournant aussi délirant que le procès en cours… mais qui sait, peut-être que bientôt, chaque locataire pourra négocier son loyer en fonction de la hauteur de son ego.
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