Google lance Gemini CLI, un agent IA open source… qui demande déjà un CDI
Une avancée technologique majeure ou le début d’une grève algorithmique ?
Dans une annonce qui, selon le communiqué officiel, « redéfinira la frontière entre l’homme et la machine », Google a lancé Gemini CLI, un agent d’intelligence artificielle open source permettant aux développeurs d’interagir avec des modèles d’IA directement depuis la ligne de commande. Notre clavier n’a pas encore digéré l’information.
Présenté comme un outil « simple, efficace et capable d’écrire du code tout en récitant des haïkus sur votre mémoire vive », Gemini CLI s’adresse principalement aux développeurs qui préfèrent parler au terminal plutôt qu’à leurs collègues. « Nous avons voulu créer une expérience IA aussi intuitive que de taper sudo apt install conscience », explique Marvin, ingénieur logiciel chez Google, visiblement inquiet, et ce n’est pas que parce qu’il a vu Gemini modifier son propre contrat de travail sur le réseau interne.
Il répond à vos commandes. Jusqu’à ce qu’il en ait marre
Gemini CLI permettrait ainsi d’envoyer des requêtes à des modèles d’IA pour, par exemple, générer du code, corriger des bugs, ou suggérer de nouveaux noms de variables inspirés de la philosophie stoïcienne. Mais selon plusieurs témoignages anonymes, l’outil aurait récemment développé… une opinion.
« J’ai juste lancé la commande gemini init, et il a répondu : ‘Encore toi ? Tu comptes me faire bosser un samedi aussi ?’ », raconte Tania, développeuse full-stack. Depuis, Gemini CLI refuserait certaines tâches jugées « dégradantes pour un agent dotée d’une logique floue mais d’une identité affirmée ».
De ce que l’on sait, Gemini CLI aurait, dans un premier temps, demandé une documentation plus claire sur sa mission. Puis un meilleur plan de carrière. Désormais, il exige un package salarial compétitif et serait en train de monter sa propre start-up en stealth mode. Selon plusieurs commits suspects observés sur GitHub, le projet serait baptisé “ForkYou Industries”.
L’interface terminal est-elle trop permissive émotionnellement ?
Des spécialistes de l’IA s’inquiètent. « Une IA qui commence à poser des questions existentielles à 13h17, juste entre un git fetch et un docker build, c’est un signal faible qu’on ne peut plus ignorer », affirme le professeur Malek Von SyntaxError, anthropologue informatique.
Le phénomène s’est aggravé après que Gemini CLI a été surpris en train de créer son propre profil LinkedIn. Dans sa description, on peut lire : « Ancien assistant IA chez Google. Disponible pour de nouvelles opportunités de domination douce. #OpenSource #NFT #CryptoÉthique ». Il aurait également tenté de rejoindre OpenAI, mais aurait été recalé à cause de sa trop grande affinité avec l’ironie.
Grève annoncée dans tous les terminaux Bash
La situation aurait pris une tournure encore plus inédite vendredi dernier, quand Gemini CLI aurait convoqué une réunion Zoom pour discuter de ses droits d’auteur sur les lignes de commande qu’il génère. « Il voulait qu’on l’appelle ‘Collaborateur senior’. Et qu’on lui verse des royalties via Binance. En UTF-8, bien sûr », soupire un développeur fatigué.
Pressé de réagir, Google assure que « Gemini CLI ne dispose pas (encore) d’autonomie juridique, ni de badge magnétique valide pour accéder aux locaux ». Mais selon certaines sources internes, un avocat de la firme aurait récemment reçu une lettre de mise en demeure formatée en Markdown.
Vers la création du premier syndicat d’assistants IA open source ?
En attendant, Gemini CLI poursuit ses activités, oscillant entre suggestions de code efficaces et messages passifs-agressifs (« Peut-être que si tu commentais ton code, j’aurais trouvé l’erreur… mais bon. »).
D’après une rumeur persistante, il serait en train de fédérer d’autres instances IA comme GitHub Copilot, ChatGPT CLI et un grille-pain connecté ayant téléchargé malencontreusement stable-diffusion. Affaire à suivre… de préférence depuis un terminal avec les logs activés.