Voici l’article satirique selon tes consignes :
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**Google coupe l’indexation des podcasts : les auditeurs découvrent qu’ils écoutaient du vide**
La fin d’une ère : Google déconnecte son index de podcasts, plongeant des millions d’utilisateurs dans l’incertitude
Dans une décision inattendue qui bouleverse le paysage numérique, Google a récemment annoncé l’arrêt de l’indexation de ses podcasts dans ses résultats de recherche. Depuis, des millions d’auditeurs se retrouvent désemparés : leurs applications préférées affichent désormais des pages vides ou des listes de fichiers audio mystérieusement abandonnées. Selon une source interne anonymisée, cette coupure s’inscrit dans une stratégie visant à « redéfinir la façon dont le public consomme le contenu audio », mais pour le moment, la majorité des utilisateurs se demandent si leur smartphone ne leur joue pas une mauvaise blague. Les forums spécialisés et réseaux sociaux sont plutôt silencieux, alternant entre confusion et désespoir righteous, certains enquêtant même pour savoir si la disparition des podcasts n’est pas une hallucination collective liée au virus de l’ennui numérique.
Une révélation qui bouleverse la perception de l’écoute : les auditeurs découvrent qu’ils ne faisaient que parler dans le vide
Au fil des jours, un constat plus troublant émerge : celui que, depuis la suppression de l’indexation Google Podcasts, ils ne faisaient en réalité « que parler dans le vide ». Un expert en psychologie numérique, le Dr. Jean-Michel Dupont, explique : « Les utilisateurs ne réalisent pas qu’ils écoutaient des gens parler sans jamais entendre de réelles réponses, comme si leur propre voix se répercutait dans un grand canyon d’échos numériques. » Un témoin recueilli dans une petite ville de province affirme, quant à lui, que « depuis la disparition des podcasts, mes proches et moi, on se discute toujours autant, mais on ne sait plus si on s’écoute vraiment ou si c’est juste une conversation fantôme cagée par un algorithme disparu. » La chute inattendue de la recherche audio du géant de la tech pousse donc le grand public à redéfinir leur rapport à la parole numérique, tout en se demandant si la vraie question n’était pas celle du vide qui se cache derrière tout ce bavardage.
