Titre proposé : Google Cloud déploie un assistant IA pour sécuriser vos licenciements avec emojis, douceur et playlist zen
Google intègre Gemini à ses services cloud pour alléger la douleur des licenciements (avec un 😌 à la fin)
Google repousse une fois de plus les limites de l’innovation RH en annonçant l’intégration de son intelligence artificielle Gemini dans sa suite Cloud. L’objectif affiché ? “Simplifier la gestion des ressources humaines en automatisant les tâches émotionnellement complexes tout en préservant une expérience humaine, chaleureuse et sans contacts visuels gênants”, détaille un communiqué officiel.
Parmi les fonctionnalités déjà en test dans certaines divisions de la Silicon Valley : l’envoi automatisé d’e-mails de licenciement personnalisés, l’analyse prédictive des performances à distance, et surtout, un moteur de recommandation de playlists Spotify adaptées à l’ambiance du départ (de « Don’t Stop Believin’ » à « Someone Like You », en fonction du plan social).
La promesse ? Permettre à tout manager d’annoncer une mise à pied avec la délicatesse d’un poème haïku, le tout accompagné d’emojis “sélectifs mais sincères”, selon Google. À quoi ressemble un licenciement 3.0, exactement ? Voici un exemple fourni par la firme :
“Bonjour Céline,
Après une profonde analyse de nos effectifs, nous avons pris la difficile décision d’alléger certaines équipes 🧘♀️
Merci infiniment pour ton investissement sans faille 🙏
Bonne chance pour la suite de tes aventures ! 🚀
– Team RH Augmentée”
Des experts saluent une avancée majeure dans “l’automatisation de l’empathie”
Le Dr. Philippe Dupont, chercheur en éthique numérique et amateur de Slack, applaudit l’initiative. “C’est un progrès formidable. Enfin un outil qui permet de couper proprement le lien salarial sans passer par la case ‘discussion inconfortable’ autour d’une table en formica.” Il souligne également l’efficacité émotionnelle de la formule : “Recevoir un avis de licenciement accompagné d’un panda en larmes 🐼, c’est quand même plus doux qu’un silence pesant dans une salle de réunion vitrée.”
Une option premium serait déjà en phase bêta : elle propose au salarié d’activer un mode “Départ Zen”, où l’e-mail de fin de contrat est suivi d’une méditation guidée de 12 minutes, d’un bon de réduction pour un spa et d’une citation inspirante sélectionnée par l’IA (“Quand une porte se ferme, un chatbot s’ouvre”).
Un développeur anonyme de Google témoigne à demi-mot : “C’est génial. On a remplacé six managers par une IA qui ne réclame ni augmentations, ni formation en leadership bienveillant. Et elle choisit mieux les GIFs.”
Un futur du travail sans drame, ni poignées de main humides ?
Face aux critiques dénonçant une froideur algorithmique dans la gestion humaine, Google assure que Gemini “n’a pas pour but de remplacer l’humain, mais simplement de le décharger de l’embarras chronique propre au management”.
La technologie vise à combiner productivité et bienveillance synthétique. D’ici la fin de l’année, Google prévoit une nouvelle fonction “Préavis Festif”, qui générera automatiquement un visuel façon carte d’anniversaire annonçant la fin de contrat, avec claquements de confettis et feu d’artifice virtuel.
Interrogée sur les limites potentielles d’un tel dispositif, une responsable RH équipée de Gemini répond sereinement : “À partir du moment où l’IA pleure sous forme de sticker animé, je crois qu’on a atteint un bon niveau d’empathie.”
Le futur du travail est donc peut-être froid… mais en 4K, avec filtre sépia et musique d’ambiance.



