Très bien, voici un exemple d’article satirique respectant vos consignes :
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À Venise 2025, les documentaires raflent la vedette et les cinéastes de fiction se déguisent en glaneurs d’images pour se faire une place
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Un virage inattendu dans la sélection officielle de la Mostra
Depuis l’ouverture de la Mostra de Venise 2025, une tendance étonnante s’est installée : les documentaires ont éclipsé la fiction, suscitant à la fois admiration et perplexité chez les critiques. Longtemps considérés comme des œuvres secondaires, les documentaires sont désormais au centre de toutes les attentions, avec une sélection officielle qui privilégie ces productions incarnant « une vérité brute ». En réponse à cette surcharge de reportages et d’enquêtes, les cinéastes de fiction, autrefois inquiets de leur déclin annoncé, sont désormais nombreux à troquer leur plume contre une caméra orientée vers la réalité, parfois en cachant leur véritable identité pour pouvoir concourir.
Une stratégie désespérée ou un simple souci d’adaptation ?
Pour survivre dans ce nouveau paysage cinématographique où le documentaire semble régner en maître, certains réalisateurs de fictions ont adopté un subterfuge plutôt ingénieux : se déguiser en documentaristes. « Certains prétendent qu’il s’agit d’un simple coup de pouce pour leur carrière, mais en réalité c’est une stratégie de survie, ou plutôt de camouflage », explique le professeur en études cinématographiques Maria Proust. « On voit même certaines stars costumées en bobos engagés, prétendant filmer “la vérité de leur banlieue”, alors qu’elles n’ont jamais quitté le plateau de tournage ». Selon les experts, cette course à l’authenticité va probablement continuer, alimentant un drôle de marché où la frontière entre réalité et fiction se joue plus que jamais à coup de fake news visuelles.