La Philharmonie expose des dessins d’enfants influencés par Snoop Dogg, révolution artistique

Titre principal : La Philharmonie de Paris lance la rétrospective la plus inattendue de l’année : les gribouillis d’enfants, une immersion artistique « profondément inspirée par Snoop Dogg »

Une exposition innovante pour rivaliser avec Kandinsky

Face à l’engouement sans précédent pour l’exposition consacrée aux liens entre Kandinsky et la musique, la Philharmonie de Paris a décidé de frapper fort en annonçant sa nouvelle rétrospective : «Les gribouillis des petits prodiges : l’art abstrait des enfants sous influence Snoop Dogg». Une initiative qui, selon ses organisateurs, «révolutionne la perception de l’art contemporain et offre un regard inédit sur la créativité primitive». L’objectif est clair : capter l’attention du public en proposant une immersion dans l’univers artistique que l’on pourrait croire aussi profond qu’un brueil d’enfant de 3 ans, tout en étant totalement légitime dans sa démarche artistique «inspirée».

Une mouvance artistique issue d’un profond éveil musical et… jugée crédible

Les experts peinent à détacher leur regard de cette nouvelle tendance, et certains n’hésitent pas à qualifier cette démarche de «révolution culturelle». Selon un spécialiste en arts visuels, le Dr Jean-Michel Berger, interrogé lors du vernissage : «Ce qui est frappant, c’est l’harmonie parfaite entre l’abstraction naïve et l’influence musicale de Snoop Dogg, dont la boîte à rythmes semble guider la main du jeune artiste en herbe. C’est la preuve que la musique urbaine peut pleinement inspirer la créativité enfantine, voire la sublimer dans ses formes les plus spontanées». Quant à la directrice de l’exposition, Mme Lucie Desmarais, elle confie : «Nous sommes fiers de mettre en lumière cette nouvelle mouvance artistique, qui prouve que l’art n’a pas de frontières, surtout quand il est exprimé à travers des dessins réalisés par des tout-petits tout droit sortis de leur univers musical». Si la démarche peut sembler surprenante, elle révèle une réalité qu’on ne peut plus ignorer : dans le monde de l’art, tout est désormais question d’influence, même si l’influence vient d’un enfant de 3 ans et d’un rappeur légendaire.

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