**Port-de-Bouc : un cartel nominé aux Trophées PME de l’année pour sa gestion innovante des ressources humaines et sa production locale bio-éthique de cannabis**
Une organisation criminelle qui se métamorphose en modèle industriel performant
Située sur la façade méditerranéenne, la ville de Port-de-Bouc fait désormais parler d’elle pour un phénomène inédit : l’essor d’un trafic de stupéfiants qui a laissé derrière lui ses méthodes artisanales pour évoluer vers une véritable organisation entrepreneuriale. Selon nos sources, ce réseau, initialement réduit à quelques petits producteurs locaux, a réussi à se structurer comme une PME moderne, intégrant même des stratégies de gestion des ressources humaines, un service clientèle et une production certifiée bio-éthique. La société clandestine, surnommée par ses proches « Les Croissants Persévérants », aurait récemment été nominée aux Trophées PME de l’année, dans la catégorie « Innovation sociale et écologique ». Un expert en économie souterraine affirme que « ce modèle est une véritable révolution dans l’industrie illicite, mêlant éthique, privatisation des ressources et optimisation de la production ». La ville, qui jadis était surtout connue pour sa station-service désaffectée, pourrait bientôt faire figure d’exemple en matière de renouvellement endogène des circuits de production non conventionnels.
Une production locale bio-éthique qui bouscule les codes traditionnels du marché noir
Ce qui étonne le plus, c’est la structuration bureaucratique autour de cette activité, avec la mise en place de certifications « bio » et d’un département qualité, garantissant un produit final conforme aux normes européennes d’écologie et de bien-être animal du marché noir. Selon un témoin ayant préféré garder l’anonymat, cette réussite tient à la volonté de certains “représentants” de l’organisation de se Bretter aux standards de développement durable, tout en évitant l’“empreinte carbone » des circuits traditionnels. Un intervenant local confie : « Ils ont même instauré un protocole de gestion du personnel, avec des réunions hebdomadaires, des évaluations de production et des formations continue à la “biodiversité” de la fleur » ». Ce contraste entre rigueur entrepreneuriale et activité illicite procure un nouveau souffle à cette industrie, qui semble désormais vouloir s’inscrire dans un cadre plus “green” et “éthique”. La communauté locale, quant à elle, commence à se demander si Port-de-Bouc ne pourrait pas, à terme, bénéficier d’un label de commerce équitable… clandestin.