Roland-Garros repoussé : “Nous attendons un vrai candidat au trophée”, s’amuse la direction
Les doutes gagnent le circuit avant Roland-Garros
Depuis quelques semaines, le circuit ATP est secoué par un curieux phénomène : les joueurs semblent avoir perdu la moindre envie de brandir le trophée de Roland-Garros. Alexander Zverev, autrefois à la recherche d’un regain de confiance, serait désormais trop sûr de ses capacités, au point de ne plus juger nécessaire de vraiment s’imposer. Pendant ce temps, Carlos Alcaraz, pourtant très en vue ces derniers mois, paraît lever le pied dès qu’il se retrouve trop proche de la finale : “Le trophée sera toujours là demain”, aurait-il déclaré à l’issue d’un match expéditif. Cette étrange tendance laisse l’organisation du tournoi dans l’embarras. Selon les rumeurs, les officiels ont même contacté des psychologues sportifs pour tenter de comprendre cette crise subite de la motivation, allant jusqu’à envisager un report historique du début de la compétition.
Un “expert” propose d’imposer l’envie de gagner
Face à cette situation, la direction de Roland-Garros n’a pas eu d’autre choix que d’annoncer officiellement le décalage de la première balle jusqu’à ce que “quelqu’un veuille vraiment soulever le trophée”. Jean-Philippe Revers, autoproclamé spécialiste du tennis sur gazon, a tenu à réagir : “Il est évident que ces joueurs n’ont plus faim, c’est peut-être à cause des apéritifs pré-match trop copieux. Pour en finir, on devrait leur interdire de sortir du court avant d’avoir prouvé leur détermination, quitte à fournir des coussins si le match dure plus de huit heures.” Selon des indiscrétions, les organisateurs envisageraient même de limiter le nombre de frappes par échange afin d’accélérer la quête d’un vainqueur. Reste à savoir si cette mesure, audacieuse mais potentiellement inapplicable, saura motiver Zverev, Alcaraz et consorts à redevenir ces conquérants que le public attend avec impatience.
