Macron cède la Corse pour sauver le Groenland, Trump réclame le kouign-amann

Macron propose la Corse pour sauver le Groenland : Trump exige la recette du kouign-amann

Une offre diplomatique insolite

Emmanuel Macron a créé la surprise en posant le pied sur le sol glacé du Groenland, bien décidé à afficher la solidarité européenne contre la menace d’une « annexion amicale » de Donald Trump. Devant un parterre de journalistes frigorifiés, le président français a dévoilé un plan controversé : offrir la Corse aux États-Unis en échange d’un retrait total de leurs prétentions au Groenland. Selon ses conseillers, cette idée « audacieuse » permettrait de consolider un axe franco-américain inédit et de doter enfin la Corse d’une alliance stratégique favorable à son tourisme insulaire. De son côté, l’administration Trump, qui possède déjà un solide bagage en transactions immobilières, aurait accueilli la proposition avec un intérêt mitigé. Tandis que les drapeaux européens claquaient au vent arctique, un large sourire se dessinait sur le visage de Macron, convaincu d’avoir trouvé la parade ultime face aux velléités expansionnistes de Washington.

Un accueil tiède et des exigences surprenantes

Si l’ambiance diplomatique semblait d’abord chaleureuse, les négociations ont pris un tournant inattendu lorsque Donald Trump aurait exigé un supplément culinaire à l’accord proposé : la très secrète recette du kouign-amann. « Nous avons déjà goûté à la gastronomie française, mais ce gâteau breton est un trésor convoité », aurait lâché un conseiller de la Maison-Blanche, l’œil pétillant de gourmandise. Face à cette requête, Emmanuel Macron aurait fait mine de s’étonner, avant de se tourner vers ses équipes pour organiser en urgence un séminaire « pâtisserie-éclair » afin de satisfaire le locataire de la Maison-Blanche. « Céder une île, à la rigueur, ça reste du domaine du politique », analyse Jean-Loup Mendras, un expert en relations internationales fictif, « mais renoncer à un savoir-faire culinaire, c’est toucher à l’âme de la France ! ». Reste à voir si la promesse d’une dotation en farine et en beurre sera suffisante pour calmer les appétits diplomatiques américains…

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