Macron propose de remplacer l’Alaska par un stock mondial de camembert râpé

Macron s’envole au Groenland pour freiner Trump et tente d’échanger l’Alaska contre du camembert

Une offensive diplomatique qui sent le fromage fondu

Emmanuel Macron a débarqué jeudi matin sur les glaces du Groenland, vêtu d’un manteau tricolore, accompagné d’une délégation d’experts en géopolitique arctique, en thermos et en reblochon affiné. Le président français aurait déclaré, face à une banquise solennelle : « L’Europe doit barrer la route au néoprotectionnisme glaciaire. Le Groenland ne sera ni une colonie, ni un surgelé. »

Ce déplacement inédit intervient quelques jours après des rumeurs nouvelles d’un intérêt de Donald Trump pour les richesses du Groenland, comme les cailloux rares et les ours polaires fiscalement coopératifs. Bien que le climat politique y soit en dessous de zéro, l’Élysée a jugé utile de montrer sa solidarité dégivrée à l’égard des territoires boréaux.

« C’est un message fort – un message polaire – mais également un message fondant, presque coulant », a analysé le politologue Bernard-Antoine Levain, rédacteur en chef du Bulletin du Gruyère Stratégiquement Orienté.

Une proposition diplomatico-laitière qui fait fondre l’ONU

Dans un geste que beaucoup jugent aussi improbable que puant, Emmanuel Macron aurait envoyé une offre formelle à la Russie, proposant un échange symbolique : l’Alaska, restituée à la France (via un bail emphytéotique de 999 ans), contre trois milliards de tickets-restaurants et une livraison hebdomadaire à vie de camemberts d’appellation protégée, transportés en sous-marin nucléaire reconverti en cave d’affinage surgelée.

« C’est un plan stratégique de rééquilibrage lacto-territorial », explique Jean-Alphonse Bertin, expert autoproclamé en diplomatie fromagère et consultant pour Beurre Sans Frontières. Selon lui, l’offre mettrait Moscou dans une situation cornélienne : choisir entre le permafrost et le parfum du brie coulant.

L’initiative a pris de court l’ancien président américain Donald Trump, qui aurait tweeté dans la nuit : « L’Alaska, un fromage français ? Mauvaise idée. J’exige au moins du cheddar patriote. Sad! »

Un sommet au sommet

Pendant que Macron posait fièrement près d’un phoque en costume cravate prêté pour l’occasion, des négociateurs français esquissaient une feuille de route baptisée « Accord de la Raclette Nordique ». Objectif : maintenir la stabilité diplomatique de la calotte glaciaire face à l’augmentation préoccupante des tensions fondues entre superpuissances.

Le ministère français des Affaires Étrangères a confirmé que Valérie Béchamel, nouvelle « attachée spéciale aux relations polaires et aux fromages persillés », était en route vers Nuuk pour entamer les premières discussions trilatérales aux côtés d’envoyés danois et d’un représentant mozzarella du Vatican.

Pour le moment, les habitants du Groenland observent avec circonspection la présence française, bien qu’un sondage local indique que 64 % d’entre eux sont favorables à « plus de fromage et moins de discours ».

Conclusion de Jean-Alphonse Bertin : « Si la guerre froide doit redevenir chaude, autant qu’elle se termine dans une fondue. »

Selon nos sources, une réunion secrète aurait été planifiée entre Macron et Poutine autour d’une planche mixte. Affaire à suivre – à température cave.

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