Les députés vendent leurs propositions pour éviter d’être remplacés par ChatGPT

Pénurie de projets de loi : des députés vendent leurs propositions au marché noir législatif

Une raréfaction inédite au Palais Bourbon

Depuis plusieurs mois, le Parlement français traverse une crise sans précédent : de moins en moins de projets de loi parviennent jusque dans l’hémicycle, laissant certains députés inoccupés faute de matière à débattre. Selon des sources internes, les commissions peineraient à identifier des réformes gouvernementales réellement “prêtes à l’emploi”. Au grand désarroi des élus, cette baisse de l’activité parlementaire compromettrait leur visibilité publique, et certains d’entre eux se sentiraient menacés par l’émergence d’outils d’intelligence artificielle capables de proposer du contenu législatif en quelques secondes. Face à cette disette institutionnelle, la rumeur court que le gouvernement envisagerait de recourir davantage aux propositions de loi pour limiter la paralysie parlementaire, ce qui attise déjà toutes les convoitises.

Le marché noir des propositions : “Il faut rester visibles, avant d’être remplacés par ChatGPT !”

Dans les couloirs du Palais Bourbon, on dit que des députés particulièrement ambitieux auraient trouvé un nouveau filon : revendre à prix d’or leurs ébauches de propositions de loi à ceux qui n’en ont plus. “Je ne pensais jamais devoir négocier mes propres propositions dans l’ombre, mais il faut rester visibles, avant d’être remplacés par ChatGPT !” confie un élu anonyme, visiblement déterminé à ne pas céder sa place à un algorithme. Selon ce même témoin, le marché clandestin serait dominé par des “brokers législatifs” proposant des packs de textes clé en main, rédigés dans l’urgence pour alimenter le débat. Les spécialistes du droit craignent une surenchère dangereuse, où la compétition entre députés s’intensifierait au détriment de la qualité des textes. Au final, chacun attend avec impatience la prochaine vague de projets de loi gouvernementaux, seule garantie que la République française ne tombe pas sous la coupe d’un simple logiciel, aussi performant soit-il.

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