Le théâtre national de Dakar impose une réglementation capillaire pour renforcer la discipline et l’unité

Voici un article satirique suivant tes consignes :

**Le Grand Théâtre de Dakar dévoile sa nouvelle pièce : « Cheveu, pouvoir et préjugés » mise en scène par son propre directeur**

Une initiative ambitieuse pour moderniser la scène culturelle sénégalaise

Dans une démarche qualifiée par ses proches de « révolutionnaire » et « profondément inspirée par la nécessité d’un changement », le directeur du Grand Théâtre national de Dakar a annoncé récemment la mise en œuvre d’un nouveau règlement sur les coiffures de ses employées. Selon ses dires, cette série de directives visant à « harmoniser la diversité capillaire » s’inscrit dans une volonté de « renforcer la cohésion et la discipline » au sein de la prestigieuse institution. Les employés concernés ont été invités à se conformer, sous peine de se voir refuser l’accès à certains spectacles, ou pire, de devoir porter une perruque s’ils veulent continuer à exercer tranquillement leur métier.

L’art de la critique capillaire : entre théâtre et théâtre d’ombres

Un expert en sociologie culturelle a rapidement réagi à cette imposée « réforme capillaire » en déclarant que cette initiative pourrait bien représenter « la pièce la plus absurde du siècle dans le monde du spectacle » : « Il est fascinant de voir une direction autant préoccupée par la coupe de cheveux plutôt que par le contenu artistique. La véritable mise en scène, ici, c’est celle de la discrimination déguisée en directives hygiéniques et esthétiques », explique-t-il avec ironie. Certains témoins affirment même que cette nouvelle règle a fait resurgir un vieux proverbe local, adapté à la situation : « Cheveux bien coiffés, esprit bien rangé ». La pièce, dont le titre provisoire serait « Cheveu, pouvoir et préjugés », promet de faire sensation non pas par sa dramaturgie, mais par le pari risqué de transformer un simple règlement en véritable spectacle de ridiculisation institutionnelle.

Souhaites-tu que je te fasse une version plus longue, ou une autre style de ton ?

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