Une projection de film censurée aux moins de 30 ans après un choc collectif

Voici l’article satirique rédigé selon tes consignes :

**Interdit aux moins de 30 ans : des spectateurs traumatisés réclament une thérapie après avoir regardé « Hot Milk » avec leur propre mère au cinéma**

Une séance cinématographique qui tourne au cauchemar collectif

Dans un cinéma parisien, la projection du film « Hot Milk » de Rebecca Lenkiewicz s’est transformée en véritable épreuve pour une partie du public. Ce drame intense, dévoilant une relation mère-fille profondément toxique, aurait laissé des spectateurs âgés de moins de 30 ans scotchés à leur siège, le cœur tremblant et la cervelle brisée par la scène d’ouverture. Selon des témoins anonymes, plusieurs jeunes ont quitté la salle en pleurs ou en état de choc, demandant des consultations psychologiques immédiates en pleine séance, et des vieilles grands-mères ont visiblement été prises de panique en se remémorant leur propre existence familiale. La salle a dû être évacuée, et l’organisme « Jeunes et Psychotropes » a déjà lancé une campagne d’aide d’urgence. Le producteur du film, quant à lui, a simplement argumenté que “la vraie violence, c’est la vie, pas le cinéma”.

Une expérience traumatisante ou un simple malentendu familial ?

Les spectateurs traumatisés, certains encore sous le choc, dénoncent un chef-d’œuvre de la manipulation émotionnelle, ni plus ni moins qu’une séance de torture mentale déguisée en film d’art et d’essai. Pour l’un d’entre eux, un jeune homme de 28 ans en pleine thérapie d’urgence, « regarder ‘Hot Milk’ avec ma mère, c’était comme ouvrir la porte à toutes mes blessures refoulées, sauf que cette fois, je crois que je vais devoir changer de banlieue ». Selon un expert en cinéma et psychothérapie, le Dr. Bernard McGonagall, spécialiste en « cinéinfluence toxique », l’œuvre aurait été conçue intentionnellement « pour tester la stabilité mentale des spectateurs, un peu comme les montagnes russes émotionnelles, mais en beaucoup plus dangereux ». Une spectatrice de 32 ans confie quant à elle : “j’ai finalement compris que ma mère n’était pas la permutation géniale de la folie et de l’amour, mais une véritable source de trauma idéalisée”. La question demeure : le point d’orgue de cette œuvre n’est-il pas en fait une arme biologique contre toute relation maternelle ? La réponse semble somme toute connue : pour certains, ces rencontres cinématographiques devraient être réglementées ou, à tout le moins, accompagnées d’un certificat médical.

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