Deux policiers inventent des amendes surréalistes à Marseille : la vérité va vous surprendre !

Des contraventions plus imaginaires qu’une bouillabaisse invisible

Le ciel de Marseille est souvent éclatant, mais cette fois-ci, deux agents de la paix ont visiblement eu un coup de chaud en distribuant des amendes plus fantaisistes qu’un chaton qui parlerait le provençal. D’après la rumeur, ils auraient dressé des contraventions pour stationnement illusoire devant la Bonne Mère, pour excès de vitesse en tongs sur la Canebière ou encore pour “mauvais accent marseillais” – un motif qui, convenons-en, aurait pu condamner la moitié de la ville ! Évidemment, la nouvelle a entraîné plus de haussements d’épaules que de chauffeurs de taxi un jour de grève. On raconte même que certains restaurants mettraient un supplément pour “soupe au crouton trop croustillant” plutôt que de s’embêter à imprimer d’authentiques notes. Les deux policiers ont été débusqués par le tribunal de Tarascon, une institution où l’irrationnel a parfois plus d’histoires à raconter qu’un vieux cabanon des Calanques. Ironiques apprentis-sorciers d’une forme de justice parallèle, ils se sont retrouvés condamnés pour avoir pris leurs rêves de gros PV pour des réalités… et quelques bonnes blagues de trop.

La justice comme un ballon de plage sur la Méditerranée

Au-delà des rires, la situation révèle l’éternel talent qu’a Marseille pour transformer les faits divers en vrai feuilleton, digne des meilleurs soap operas tournés sur le Vieux-Port. Nombreux sont les Marseillais qui ont haussé un sourcil en apprenant que deux agents censés faire respecter l’ordre se prenaient pour des auteurs de fiction. Certains affirment que c’était pour arrondir les fins de mois, d’autres soutiennent qu’il s’agissait d’un simple élan créatif : inventer des infractions plus improbables qu’un but de l’OM au dernier moment. Peu importe la raison, c’est désormais sous l’œil vigilant du tribunal que se joue la finale de cette épopée rocambolesque. Et à Marseille, on le sait bien : mieux vaut faire attention quand on inflige des contraventions bidon, car même les plus petits canulars peuvent faire les gros titres, surtout dans une ville où le pastis coule à flots et où la fiction dépasse parfois la réalité de plusieurs longueurs de sardine.

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