Trump en colère : la guerre des tweets
Donald Trump a récemment fait part de son amertume envers Elon Musk, qu’il accuse de l’avoir « délaissé au profit d’innovations futiles et de fusées qui ne décollent jamais à l’heure ». Selon le président américain, l’entrepreneur se montrerait plutôt « ingrat », préférant dorénavant sillonner les plateaux TV en vantant ses prouesses technologiques « plutôt que de rester loyal et silencieux ». De son côté, Musk aurait répliqué en qualifiant Trump de « râleur professionnel » et de « dirigeant surexcité » incapable de reconnaître « les vertus de l’excentricité visionnaire ». Des proches affirment même que l’inventeur du lance-flammes portable serait prêt à consacrer un fonds d’urgence pour s’écarter politiquement de toute déclaration intempestive de la Maison-Blanche. Au milieu de cette cacophonie, les réseaux sociaux se délectent de leurs échanges, chacun observant avec curiosité un face-à-face où le charisme et l’ego semblent aussi volumineux que les roquettes de SpaceX.
Elon’t, le révolutionnaire plastique
Face à ce climat électrique, Donald Trump a annoncé le lancement d’« Elon’t », un milliardaire de substitution en plastique « 100 % made in Texas ». D’après le communiqué, cette copie synthétique serait non seulement « plus loyal », mais également dotée d’un mécanisme de patriotisme intégré, censé s’activer à chaque note de l’hymne national. « C’est la première étape d’une ère industrielle où la loyauté se fabrique en laboratoire », explique le professeur Marvin Farnsworth, expert autoproclamé en programmes farfelus. Le prototype Elon’t saurait faire la révérence à chaque apparition présidentielle, tweeter sans réfléchir et lancer des projets hors de prix uniquement pour flatter le locataire de la Maison-Blanche. Pour l’heure, rien n’indique si le vrai Musk compte réagir à cette invention, mais la rumeur veut qu’il ait déjà réservé un vol suborbital pour s’éloigner du tumulte… ou peut-être croiser son remplaçant dans les cieux artificiels.