Israël interrompt la guerre pour une mini-trêve caféinée de quatre minutes mensuelles

Guerre et Cappuccino : Israël propose une “pause-café humanitaire” de 4 minutes par mois

Le quotidien sous tension et l’annonce surprenante

Dans la ville de Tulkarem, en Cisjordanie, la famille Redwan tente de mener une vie à peu près normale malgré les sirènes et l’incertitude qui secouent la région depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas. Au milieu des inquiétudes quotidiennes et des rumeurs de nouvelles opérations militaires, l’intervention d’un programme pilote appelé “pause-café humanitaire” a suscité une curiosité mêlée d’incompréhension. Le gouvernement israélien, soucieux de soigner son image auprès de la communauté internationale, promet ainsi quatre précieuses minutes par mois où les armes sont censées se taire pour laisser place aux machines à expresso. De leur côté, les Redwan observent ce drôle de sursaut diplomatique en se demandant comment ces parenthèses caféinées pourraient changer le cours de leur vie suspendue.

Un “geste fort et caféiné”, selon les autorités

Selon un communiqué officiel, ces brèves respirations mensuelles visent à offrir “un geste fort et caféiné” pour montrer l’engagement d’Israël en faveur d’une trêve humaine et pleine d’arômes. Les représentants du programme insistent sur le fait que ce projet, aussi court soit-il, permettra de démontrer leur volonté de trouver une issue — même si elle passe par une poignée de minutes et quelques gobelets en carton. Dans un entretien imaginaire, un certain Professeur Nescovi, présenté comme expert en relations internationales et en torréfaction, salue cette avancée : “J’ai rarement vu un conflit se résoudre avec du café, mais je dois admettre que c’est un début. On dit bien que le diable se cache dans les détails… et parfois dans la cafetière !” Sur le terrain, la famille Redwan reste toutefois sceptique, préférant de loin observer un véritable cessez-le-feu plutôt que de s’arrêter quelques instants pour une pause-café trop courte. Pour eux, la vie entre deux frappes et un espresso n’a rien d’idyllique, mais si cela peut apaiser ne serait-ce qu’un instant la tension ambiante, ils ne diraient pas non à un peu de répit, même très éphémère.

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