Gregg Popovich prend tout le monde de court : l’icône des San Antonio Spurs a annoncé sa démission ce matin, laissant son équipe orpheline et les supporters aussi désemparés qu’intrigués. D’après un communiqué aussi sobre qu’inattendu, Popovich aurait “fait le tour de la question” et “aspirerait à de nouveaux horizons sans balle orange”. Face à l’onde de choc provoquée par ce départ soudain, les Spurs n’ont pas tardé à réagir en nommant – de manière tout aussi surprenante – Victor Wembanyama à la tête de la franchise. Jusqu’ici star montante et fierté tricolore, le jeune prodige hérite désormais d’un vestiaire à redresser, d’une saison à relancer et probablement d’une sacrée pile de dossiers que Popovich n’a pas pris le temps de trier avant de claquer la porte. Les rumeurs courent qu’il aurait laissé un simple mot sur son bureau : “Bon courage, Vic. Ne perds pas ton calme.”
Wembanyama, nouvel entraîneur-joueur, mascotte officielle et distributeur de snacks
À peine nommé, Victor Wembanyama semble déjà endosser tous les rôles possibles pour réussir à maintenir un budget viable et redorer l’image de la franchise. Joueur vedette sur le parquet, il s’est également autoproclamé responsable des distractions durant les pauses, enfile le costume de la mascotte flottante “Spurito” dès le coup de sifflet de la mi-temps et gère un stand de snacks spécialement réservé aux fans les plus gourmands. “Je n’ai jamais vu un programme d’entraînement aussi chargé, c’est tout à fait révolutionnaire”, s’enthousiasme un analyste fictif d’ESPN, la voix pleine de fierté. Malgré un enthousiasme global de la part des supporters, certains s’interrogent tout de même : pourra-t-il dribbler, motiver ses coéquipiers et secouer le pop-corn tout en conservant sa condition physique hors normes ? Une chose est sûre, ce nouveau chapitre de l’histoire des Spurs promet des rebondissements bouffons et des contre-attaques inattendues, aussi bien sur le terrain qu’en coulisses.
