Bruxelles veut surtaxer steaks trop cuits et chapeaux de cow-boy pour riposter

Steaks trop cuits et chapeaux de cow-boy : l’Europe part en croisade

Un ultimatum transatlantique

Alors que Donald Trump, candidat à la présidentielle de 2024, brandit la menace de surtaxer radicalement les importations européennes, Bruxelles s’active pour trouver la contre-attaque la plus efficace – ou du moins la plus bruyante. Les responsables européens craignent de voir les produits phares du Vieux Continent lourdement pénalisés, qu’il s’agisse de vins fins, de fromages au lait cru ou encore de voitures estampillées « Made in EU ». Dans cette atmosphère de défiance mutuelle, les institutions communautaires se sont réunies d’urgence pour élaborer un plan de réponse qui puisse faire pencher la balance en leur faveur. Les analystes sont formels : l’équilibre des échanges mondiaux est en jeu, et le moindre faux-pas pourrait dégénérer en une guerre commerciale sans précédent, menaçant directement la stabilité des marchés et, bien sûr, le moral des consommateurs européens déjà lassés par les querelles transatlantiques.

Des sanctions culinaires audacieuses

En dépit de la pression ambiante, la Commission européenne a choisi une approche pour le moins étonnante pour défier Donald Trump : interdire obstinément l’importation de steaks trop cuits et instaurer une taxe carbone sur tous les chapeaux de cow-boy vendus en Europe. « Nous proposons des sanctions à forte portée symbolique : quiconque persiste à saborder la tendreté de la viande devra s’acquitter d’une amende dissuasive », a déclaré Jean-Michel Gourmand, expert en géopolitique du barbecue, tout en rappelant l’importance de préserver « la dignité culinaire des citoyens de l’Union et leur amour du goût ». La nouvelle décision, attendue pour la fin du mois, suscite déjà son lot de remous diplomatiques. Des voix critiques s’élèvent aux États-Unis pour souligner le caractère « mesquin » de cette mesure, tandis que d’autres estiment qu’il s’agit d’un juste retour de bâton, après des années de tensions tarifaires. Dans tous les cas, ce feuilleton finit d’affirmer que l’avenir des relations euro-américaines se jouera – peut-être plus que jamais – autour d’un simple grill.

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