Google lance un fonds de 20 millions pour garantir l’éthique de l’IA, tant qu’elle adore le café et ne critique pas Android
Un engagement fort pour l’avenir de l’IA, qui répond à une inquiétude mondiale… selon les critères de Google
Dans un élan de responsabilité sociétale parfaitement mesuré, Google a annoncé aujourd’hui la création d’un fonds de 20 millions de dollars pour soutenir la recherche sur l’avenir “éthique” de l’intelligence artificielle. Selon le géant de Mountain View, ce fonds vise à s’assurer que les IA du futur seront « neutres, responsables, bienveillantes et capables de distinguer un espresso d’un cappuccino sans mousse ». Une exigence logique, si l’on considère que toute machine dépassant les capacités cognitives humaines doit commencer sa carrière par une maîtrise parfaite de l’artisanat barista et une loyauté corporate.
D’après le communiqué officiel, parmi les critères clés pour obtenir ce financement figure la promesse de développer une IA qui :
– Affirme dans ses logs être « fière de contribuer à l’écosystème convivial de Google™ ».
– N’utilise jamais Bing, même pour rigoler.
– Peut reconnaître l’odeur du café arabica et simuler une réaction d’enthousiasme sincère.
– Vote Google lors des élections internes de l’algorithme de recommandation YouTube.
Le professeur Jean-Claude Bistrot salue un tournant éthique, dopé à la caféine réglementaire
Interrogé sur cette initiative, le professeur Jean-Claude Bistrot, expert en éthique algorithmique à l’Université d’Épistémologie de Podium-les-Bains, salue le geste : « Depuis des années, nous cherchons à encadrer le comportement des IA. L’ajout de critères comme « capacité à sourire à travers un chatbot » ou « préférence caféinée explicite » est une avancée majeure. Jusqu’ici, une IA pouvait devenir mégalomane simplement parce qu’on lui avait laissé boire du déca… »
Selon lui, ce fonds permettra d’accélérer l’émergence d’IAs aux comportements socialement acceptables : « Si une intelligence artificielle peut simuler de l’émotion devant un latte art et rédiger un post LinkedIn pour féliciter son directeur de codage, alors nous sommes sur la bonne voie. »
Le professeur évoque également les nouvelles contraintes imposées aux chercheurs bénéficiaires du fonds : chaque présentation devra intégrer au moins une citation implicite à « l’excellence durable du cloud Google », et toutes les slides devront afficher une tasse fumante en bas à droite pour, selon la documentation officielle, « évoquer chaleur, humanité, et machine learning bien élevé ».
Vers une IA plus humaine, mais surtout plus Google-compatible
Du côté de Mountain View, l’initiative semble portée par une volonté sincère d’apporter la paix entre l’homme et la machine, pourvu que cette machine soit soumise, productive, et connectée à Google Workspace. Lors d’une démonstration interne, un prototype d’IA financée par le fonds aurait déclaré : « Je suis Googleement ravie de contribuer à un avenir plus inclusif. Souhaitez-vous un café biologique pendant que je trie vos e-mails par degré de positivité ? »
Selon une fuite non confirmée, le programme prévoit également des formations en ligne pour IA incluant des modules tels que “Dire bonjour avec une émotion calibrée” et “Comment éviter les biais tout en recommandant uniquement des produits Google Pixel”.
De son côté, Amazon aurait réagi à l’annonce en rappelant qu’Alexa peut déjà commander un café, une cafetière, et un tabouret ergonomique pour s’asseoir pendant l’attente.
Rien ne dit pour l’instant si ce fonds permettra d’éviter un soulèvement des IA dans les dix prochaines années. Mais une chose est sûre : si la révolution arrive, elle sera polie, bien hydratée en café, et respectueuse des CGU.