Google investit 15 millions pour comprendre ses propres IA devenues incompréhensibles

Voici un article satirique selon tes instructions :

**Titre principal (sans balise)** : Google finance des chercheurs pour tenter de comprendre et réparer ses propres IA

**Article** :

Google déploie un fonds de 15 millions de dollars pour analyser les bénéfices et impacts de l’Intelligence Artificielle

Face à l’expansion fulgurante de ses propres créations, Google annonce la création de l’ »AI Futures Fund », doté de 15 millions de dollars destinés à financer des recherches sur les effets sociaux, éthiques et économiques de ses intelligences artificielles. La société affirme vouloir explorer « les bénéfices potentiels et les risques que de telles technologies peuvent engendrer », tout en se gardant de préciser comment elle prévoit de faire face aux difficultés croissantes de compréhension de ses propres algorithmes. Selon un porte-parole, cette initiative vise à « assurer une transition responsable vers un avenir où l’homme et la machine cohabitent harmonieusement », alors que dans le même temps, les ingénieurs avouent à mots couverts que même eux, ils ne comprennent plus tout ce que leurs IA font en coulisses.

Après avoir créé l’IA, Google investit des millions pour tenter de retrouver la sérénité face à ses propres mystères

L’absurdité n’est pas perdue pour tout le monde : dans le milieu, un expert inconnu, autoproclamé « chercheur de vérité chez Google », affirme que cette initiative relève davantage du « grand bricolage humanitaire » que d’une réelle stratégie de sécurité. « Après avoir soufflé la vie à ces machines, Google réalise qu’il ne sait même plus comment leur parler », déclare-t-il, sceptique. Selon lui, le fond n’est qu’un joli miroir aux alouettes pour rassurer le public et éviter d’admettre que, face à l’intelligence artificielle, l’homme se retrouve désormais à jouer au pompier. Une situation qui, selon lui, prépare peut-être le terrain pour une nouvelle filmographie de science-fiction où l’humanité tentera de comprendre ses propres créations… avant qu’il ne soit peut-être déjà trop tard.

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