Google dévoile son nouveau projet “Hamster Cloud” pour alimenter ses serveurs grâce à des rongeurs entraînés
Dans un communiqué officiel publié ce matin, Google a levé le voile sur un projet aussi novateur que poilu : le déploiement mondial de son nouveau programme “Google Hamster Cloud™”, une infrastructure énergétique verte reposant sur la force motrice de hamsters miniaturisés courant dans des roues connectées.
Objectif : allier cloud computing et roue de hamster
Selon le communiqué de presse, la Hamster Cloud représente une avancée décisive dans la volonté de Google de réduire son empreinte carbone. « Un seul hamster peut produire jusqu’à 0,0000003 kWh par semaine. Rapporté aux 12 millions de hamsters déployés à travers nos centres de données, cela représente une énergie suffisante pour illuminer un grille-pain pendant 7 secondes », explique le Dr. Fiona Spindle, Directrice de l’unité BioÉnergie chez Google X.
En associant les dernières technologies de cloud computing à la vitalité naturelle des rongeurs, Google espère atteindre la neutralité carbone… au rythme de 15 grammes de granulés par kilowatt généré.
HaaS : Hamster-as-a-Service révolutionne l’infrastructure
Fruit de quatre ans de recherche dans les laboratoires souterrains de Google Zurich, le modèle énergétique repose sur un nouveau paradigme : le HaaS – Hamster-as-a-Service™. « Nous avons déployé une interface propriétaire permettant aux développeurs d’allouer des cycles de hamster en fonction des pics de charge serveur. Quand Gmail rame un peu, c’est qu’un hamster fait une sieste. », plaisante Alan Cho, ingénieur en chef en zoologie algorithmique appliquée.
Déjà, les premiers clients professionnels peuvent se procurer leur propre module HaaS, qui contient un mini-centre de données local, alimenté par un trio de hamsters suisses certifiés biologiques.
Des rongeurs triés sur le volet et conditionnés
Bien loin des petites bêtes de compagnie ordinaires, les hamsters sélectionnés sont issus d’un programme strict baptisé H.E.L.P. (Hamster Elite for Low Power). « Ils suivent une formation de six semaines incluant cardio, yoga vinyasa et familiarisation avec les protocoles TCP/IP », précise Marjorie Labbé, responsable du bien-être animal chez Google PetOps. « Nous ne prenons que des champions. Tous nos hamsters courent au moins à 12 cm/minute et disposent d’un QI au-dessus de la moyenne rongeuse. »
Les centres disposent également de salles de repos, de parcours d’agilité, et d’un psychologue comportementaliste pour prévenir le burn-out hamsterin.
L’opinion divisée, mais curieuse
L’initiative suscite déjà des réactions. Certains écologistes applaudissent l’approche innovante, mais d’autres accusent Google de pratiquer une forme de « greenwashing animalier ». « C’est une exploitation déguisée », dénonce la FALR (Fédération pour l’Abolition du Labeur Rongeur). De son côté, Google se défend : « Chaque hamster voit son espérance de vie prolongée de 40% grâce à nos soins holistiques et peut partir en retraite anticipée à 24 mois. »
Amazon réagit avec des gerbilles hybrides
Quelques heures à peine après l’annonce, Amazon a riposté en dévoilant son propre prototype : le « Gerbil Grid », alimenté par des gerbilles de Sibérie génétiquement modifiées pour produire de l’électricité par friction. « Nos gerbilles vibrent en haute fréquence, offrant une meilleure intentionnalité énergétique », affirme Jeff Bezos depuis la stratosphère.
Vers une nouvelle ère du Cloud vivant
Avec Hamster Cloud, Google inaugure une nouvelle étape vers une informatique plus verte, plus biologique et indéniablement plus velue. Les experts s’accordent à dire que le marché du « Cloud Zoologique » devrait exploser d’ici 2027, avec une croissance de +700% en gerbo-énergie et +2300% en bioméduses connectées.
Reste à voir si les utilisateurs accepteront que leur requête sur YouTube soit alimentée par un hamster suant à grosses gouttes après 37 heures de footing.
Mais bon, tout ça c’est toujours mieux que le charbon.