La Cour européenne accuse : “Le procès de Caster Semenya ressemblait plus à un Prime de Star Academy qu’à une audience équitable”
Dans un arrêt fracassant rendu ce matin, la Cour européenne des droits de l’homme a sévèrement épinglé la manière dont le Tribunal arbitral du sport (TAS) a traité le cas de Caster Semenya. L’athlète sud-africaine, double championne olympique, avait été contrainte de réduire son taux de testostérone pour pouvoir concourir. Mais selon la CEDH, le vrai problème n’est pas biologique : c’est que le procès ressemblait davantage à une mauvaise émission de télé-réalité qu’à une procédure juridique sérieuse.
Un format “plus proche de Koh-Lanta que de la justice internationale”
“L’audience s’est ouverte avec un générique digne de The Voice et des fauteuils pivotants pour les juges. À un moment, l’un d’eux a buzzé”, déplore le rapport de la CEDH, manifestement consternée. Selon plusieurs sources, les témoins experts étaient introduits par Nikos Aliagas lui-même, tandis que l’entrée de Caster Semenya sur le plateau aurait été accompagnée des notes épiques de Fort Boyard.
“Ce tribunal n’a pas fait preuve de neutralité, mais de mise en scène. C’est une parodie de procédure”, a ajouté un juge européen, en se demandant s’il ne s’agissait pas d’un crossover non autorisé entre Le Maillon faible et Une famille en or.
Un jury composé de célébrités : “Mon analyse scientifique, c’est mon ressenti”
Le casting du procès n’a rien arrangé. Faute d’experts disponibles, plusieurs membres du jury auraient été recrutés directement lors d’un enregistrement de Danse avec les stars.
Clara, influenceuse fitness et jurée improvisée, aurait déclaré : “Je suis pas médecin, mais j’ai lu un thread sur Twitter, et franchement, je ressens que c’est injuste”. Un ancien finaliste de Secret Story y aurait vu “une belle opportunité de visibilité, même si j’ai rien compris aux chromosomes”.
L’unique spécialiste médical disponible était un vétérinaire de Koh-Lanta, en visio depuis une île déserte.
Le verdict, sponsorisé par une marque de produits minceur
Dans un souci d’autofinancement, le procès aurait été partiellement sponsorisé. Le verdict a été annoncé en exclusivité lors d’une émission spéciale diffusée sur C8, avec des bandeaux du type “Breaking News : Semenya doit baisser sa testostérone – Découvrez les 5 astuces pour réguler vos hormones sans gluten !”.
La scène finale ? Une élimination façon Nouvelle Star, avec jury, larmes, et applaudissements enregistrés. Semenya aurait quitté la salle en empruntant une passerelle rose LED, pendant que la voix-off lançait : “Caster… ta flamme s’éteint ce soir.”
La CEDH réclame un retour à la réalité… et à la réalité judiciaire
Le rapport de la Cour réclame un “moratoire sur toutes les procédures juridiques organisées sur des plateaux TV ou dans des open-space sous influence de canal+”. Il préconise également de confier les prochaines audiences à de vraies institutions avec “des juges formés en droit, et pas des chroniqueurs historiques de Touche Pas à Mon Sport”.
Interrogée sur les propositions de la Cour, une porte-parole du TAS a sobrement déclaré : “On pensait que c’était plus immersif. Les jeunes aiment ça. Et puis, ça faisait de bonnes audiences”.
Caster Semenya, seule personne sérieuse dans cette affaire
À noter : à aucun moment la satire de cette affaire ne vise Caster Semenya elle-même, dont la dignité contraste avec le cirque médiatico-sportif absurde qui l’entoure. La championne n’a pas réagi directement à la nouvelle décision, mais aurait été aperçue en train de soupirer en regardant un écran : “S’ils veulent vraiment que je fasse le show, autant que ce soit pour une médaille, pas pour un débat débile.”
Selon des rumeurs non confirmées, Netflix serait déjà en train de négocier les droits pour une mini-série intitulée “Hexagone, genre, testostérone : procès en prime time”.
À suivre… mais seulement après la pub.