Adil Rami jure qu’il n’a pas triché : « ChatGPT ne m’a pas soufflé un seul pas de danse ! »
Un démenti solennel pour rassurer les fans
Adil Rami, fraîchement éliminé de Danse avec les stars, a tenu à dissiper tout malentendu entourant sa prestation. Au cœur de la polémique, des rumeurs prétendent qu’il aurait reçu l’aide d’une intelligence artificielle dissimulée dans des chaussons connectés, afin de mémoriser plus facilement les chorégraphies. « Je n’aime pas tricher, et je ne le ferai jamais, quel que soit le domaine », a-t-il martelé devant les caméras, visiblement ému mais déterminé. Malgré ces déclarations, certains membres de la production s’interrogent sur le curieux signal Wi-Fi émanant du dancefloor chaque fois que Rami effectuait son fameux pas de salsa. Le sportif assure pourtant qu’il ne s’agissait que d’une simple coïncidence liée, selon lui, à « l’éclairage LED haute fréquence » installé sur le plateau.
Le tango robotique qui soulève la question technologique
L’ancien pilier de la défense tricolore s’est également retrouvé sous le feu des critiques lorsque des témoins ont affirmé l’avoir vu répéter avec un robot Boston Dynamics, programmé pour ajuster en temps réel les mouvements du danseur. « Les articulations de ce robot sont juste là pour m’aider à corriger ma posture, ce n’est pas de la triche », a expliqué un proche de Rami, qui aurait lui-même appuyé sur l’interrupteur du cobot avant chaque séance. Un ingénieur spécialisé en IA, se présentant comme « expert en pirouettes numériques », confirme l’existence de tels dispositifs, capables de donner un feedback instantané sur la précision des pas. Mais ce dernier nuance : « Même si on lui murmure des conseils par un algorithme, Adil fait encore 90 % du travail physique. » Face à l’ampleur de la controverse, le principal intéressé martèle qu’il n’a qu’un seul objectif : redorer son blason et prouver que, malgré les robots et les gadgets, l’art de la danse reste avant tout une affaire de passion et de persévérance.