Un bureau mythique d’historien détiendrait la clé de la Résistance et de la légitimité universitaire

Une querelle académique inattendue

Malgré la récente disparition du grand historien Jean-Pierre Azéma, spécialiste reconnu de la France sous Vichy et de la Résistance, l’actualité n’a pas tardé à rebondir autour d’un élément inattendu de son héritage. Selon des rumeurs tenaces, l’éminent homme de lettres aurait possédé un « bureau à penser la Résistance » qui octroierait à quiconque y poserait ses coudes un surcroît de légitimité universitaire et une immunité totale aux polémiques lors de débats télévisés. Plusieurs chercheurs, impressionnés par la rigueur et la renommée de M. Azéma, se sont aussitôt mobilisés pour récupérer ce meuble quasi légendaire. L’Académie se trouve donc devant un dilemme bien délicat : identifier qui mérite d’hériter d’un objet qui conférerait, dit-on, un énorme avantage au prochain colloque historique ou au passage dans une émission de grande écoute.

Des déclarations stupéfiantes autour du « meuble miracle »

D’après d’anciens étudiants du défunt, il suffirait de s’asseoir à ce bureau pour acquérir immédiatement la science infuse sur la Seconde Guerre mondiale et la Résistance. « J’ai moi-même senti un frémissement de clarté intellectuelle rien qu’en balayant la poussière de ce meuble », a confié, sur un ton fébrile, le professeur Émeric Dubois, convaincu que les gravures gravées sur le bois renferment un savoir millénaire. Aujourd’hui, la bataille fait rage dans les couloirs des universités : certains demandent l’organisation d’un défi d’érudition pour désigner l’héritier légitime, tandis que d’autres envisagent une vente aux enchères secrète. En attendant, la pièce aussi convoitée qu’énigmatique demeure sous scellés dans une salle surveillée par des vigiles spécialement missionnés pour contrer tout assaut d’historiens trop entreprenants. Un héritage d’à peine quelques planches, certes, mais visiblement suffisamment puissant pour rallumer la flamme d’une querelle digne d’un chapitre épique de l’histoire de la recherche.

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