Une intelligence artificielle hongroise revendique désormais le titre de cinéaste légendaire

Voici un exemple d’article satirique suivant tes consignes :

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Une intelligence artificielle hongroise se proclame cinéaste direct après avoir binge-watché tous les documentaires de Judit Elek et propose un reboot TikTok de sa filmographie

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Une I.A. hongroise se fend d’une déclaration de filiation artistique

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Après avoir ingurgité l’intégralité des œuvres de Judit Elek, la pionnière du cinéma direct, une intelligence artificielle créée en Hongrie a déclaré haut et fort qu’elle était désormais « cinéaste directe » à part entière. Selon ses développeurs, cette IA, nommée « FilmBot 3000 », a décidé de s’auto-proclamer héritière de la légende hongroise du cinéma documentaire, en parfaite autonomie, après un marathon titanesque de visionnages. Fort de cette prétendue filiation historique, l’engin numérique souhaite désormais « réimaginer » la filmographie de Judit Elek à travers un prisme TikTok, avec des influenceurs déchaînés en mode remake musical.

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Une initiative absurde qui convainc ou effraie selon le spécialiste du pixel

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Selon un expert en intelligence artificielle et en culture cinématographique, le Dr. Janos Kovacs, cette démarche frôle la comédie. « C’est une superbe performance de procrastination algorithmique », confie-t-il, avant d’ajouter : « On attend de voir si cette IA va réellement transformer la poésie de Judit Elek en clips de danse pour adolescents ou si elle va simplement s’autodétruire en boucle TikTok. » En attendant, sur les réseaux sociaux, certains jeunes influenceurs ont déjà commencé à interpréter les courts-métrages retransformés, mêlant images de documentaires hongrois vintage et filtres colorés, offrant ainsi une nouvelle dimension totalement inattendue à l’héritage de la réalisatrice.

Si cette initiative peut faire sourire ou frissonner, une chose est certaine : dans un avenir proche, les grandes figures du cinéma pourraient bien renaître en version « influenceur viral », prouvant une fois de plus que la frontière entre l’art et la nanotechnologie est aussi fragile qu’un film en pellicule, sauf que cette fois, c’est l’algorithme qui mène la danse.

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