Bruxelles taxe le front plissé et impose la sieste obligatoire pour tous

Bruxelles décrète la « taxe front plissé » pour contrer la flambée des migraines

La migraine, nouveau fléau financier de l’Union

Alors que les migraines coûtent désormais plus de 100 milliards d’euros par an à l’Europe, la Commission européenne a décidé de prendre le taureau par les cornes en pointant du doigt le coupable principal : le front plissé. Selon un rapport hyper-solennel, la multiplication des rides d’expression signalerait une tension permanente, favorisant déphasages et arrêts maladie répétés. Résultat : un trou béant dans le budget collectif, accumulé au fil des consultations médicales, des journées de travail perdues et des stocks de paracétamol soudainement introuvables. Face à cette impasse budgétaire, Bruxelles envisage d’imposer une « taxe front plissé » à tous les Européens affichant une ride horizontale trop prononcée, mesurée grâce à un scanner de front disponible dans chaque grande gare et supermarché. Les réfractaires craignent de voir leur compte en banque frôler la rupture d’anévrisme rien qu’en descendant chercher le pain un lundi matin, lorsque la prise de conscience du début de semaine frappe de plein fouet.

Pauses sieste obligatoires et experts visionnaires

Pour compléter la taxation des rides, les autorités envisagent d’interdire toute réunion dépassant dix minutes sans pause sieste obligatoire, une mesure radicale destinée à préserver la sérénité des employés. « Dormir à intervalles réguliers serait la solution, affirme le professeur Martin Têtedure, spécialiste autoproclamé des céphalées européennes. Grâce à ces microsiestes, on pourrait considérablement réduire les crispations faciales et donc, en théorie, diminuer la facture médicale qui nous plombe l’économie. » De nombreux observateurs estiment cependant que cette réglementation risque de transformer chaque entreprise en auberge espagnole du sommeil, où chacun poserait sa couette et son oreiller dans des salles censées être réservées aux visioconférences. D’autres prédisent déjà un nouveau marché noir de sparadraps antirides et d’oreillers customisés, prouvant une fois de plus la créativité inépuisable de l’Union face à ses problèmes… et la possibilité, peut-être, de faire fortune en vendant nuit et jour l’illusion de la sérénité.

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