L’IA envahit les ateliers : adieu pinceaux, burins et stylos ?

Panique chez les artistes : l’IA prend la baguette magique

Depuis que certains peintres ont découvert qu’ils pouvaient « déléguer » leurs coups de pinceau à des algorithmes, on observe un véritable ballet numérique dans tous les ateliers. Les sculpteurs, jusque-là reconnus pour leur patience, se demandent s’ils ne vont pas bientôt troquer leurs burins et marteaux contre de simples écrans tactiles. Les chorégraphes, eux, redoutent désormais que l’Intelligence Artificielle ne leur souffle leurs chorégraphies de pointe : imaginez un robot concoctant un pas de deux à l’Opéra en moins de temps qu’il n’en faut pour dire « ChatGPT » ! La rapidité avec laquelle ce nouveau partenaire high-tech est invité aux répétitions en dit long sur la légère panique qui s’empare du monde culturel. Désormais, créer une œuvre est devenu aussi simple que cliquer sur « générer »… ou presque !

Quand la littérature met les points sur les bytes

Les écrivains, de peur d’être remplacés par des machines à café douées de plume, ont vite emboîté le pas : partout, on murmure qu’il faut s’accrocher à son stylo. Un grand romancier a même confié, très sérieusement, son intention de se faire implanter une carte-mémoire dans le cerveau, histoire de rivaliser avec son nouveau « co-auteur » virtuel. Les maisons d’édition, d’abord réticentes, ont finalement cédé aux sirènes de l’innovation : pourquoi s’embêter à lire des manuscrits entiers quand un logiciel peut dégoter en quelques secondes la pépite littéraire parfaite ? Et voilà que l’on songe déjà à récompenser une machine pour sa prose révolutionnaire : qui aurait cru que la sacro-sainte plume de l’écrivain finirait un jour par devoir cohabiter avec un programme informatique sur la première marche du podium ?

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