La NASA veut convertir la Lune en plateforme de covoiturage intersidéral

La NASA mise sur le covoiturage spatial pour alléger les coupes budgétaires

Face à l’annonce de la réduction drastique de son budget en 2025, la NASA s’efforce de préserver ses principaux programmes d’exploration en adoptant des méthodes pour le moins originales. Selon des sources internes, l’agence spatiale américaine envisagerait de mutualiser l’usage de ses fusées et de ses capsules habitées, transformant chaque lancement en véritable taxi collectif de l’orbite. L’idée est de proposer des sièges “moitié passager, moitié satellite” aux plus offrants, qu’il s’agisse de petites start-up souhaitant placer un CubeSat en orbite ou de touristes ayant économisé toute leur vie pour effleurer le vide intersidéral. L’initiative provoquerait d’ailleurs de vives discussions dans les couloirs de l’affaire spatiale, où certains estiment qu’un minibus interplanétaire n’est “probablement pas la meilleure solution pour garantir le prestige et la sécurité des missions scientifiques à long terme.”

“On va faire de la Lune un grand covoiturage”, prédit un expert anonyme

Réunis en urgence pour éviter l’annulation pure et simple de dizaines de missions scientifiques, les responsables de l’agence semblent étonnamment optimistes quant au succès de cette stratégie de voyage partagé. “Le but est de ne laisser aucune fusée partir à moitié vide”, explique un ingénieur désireux de rester anonyme, avant d’ajouter, goguenard, qu’“il ne faut pas hésiter à serrer un peu les genoux là-haut si on veut profiter du panorama sur la Voie lactée.” Les partenaires privés, comme SpaceX, seraient invités à concevoir des modules modulaires capables d’accueillir simultanément passagers en combinaisons spatiales et instruments de recherche sensibles. De leur côté, les astronautes se préparent déjà à la nouvelle donne : s’entraîner à négocier un partage de siège en orbite, voire à écouter poliment des présentations PowerPoint mondiales dans un habitacle chargé de valises, d’échantillons lunaires et de quelques guitaristes en quête d’inspiration stellaire.

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