Un procès 2026 attendu comme un grand show télévisé
On aurait pu croire que l’année 2026 se contenterait de nous offrir la voiture volante et la pizza auto-chauffante, mais voilà qu’elle s’annonce aussi comme le théâtre du procès le plus médiatique de la décennie. Laurent Boyer, célèbre animateur radio, devra en effet répondre de violences conjugales présumées devant un tribunal tout ce qu’il y a de plus sérieux. Certains spéculent déjà sur une retransmission en direct dans l’espoir de faire grimper l’audimat plus haut qu’une fusée de tourisme spatial. Selon des observateurs avisés, ce procès à retardement n’est pas dû à un agenda judiciaire saturé, mais plutôt à l’envie de réserver la meilleure case horaire pour un prime-time explosif. «Il faut bien occuper les familles un samedi soir», argue, l’air de rien, un mystérieux consultant en programmation télé. Pendant ce temps, l’animateur lui-même jure être aussi innocent qu’un micro éteint, invoquant une panne d’oreille sélective pour expliquer les scènes de ménage à rallonge.
Une défense façon talk-show et un public déjà conquis
Le jury sera sans doute plus sollicité qu’un public d’émission de divertissement, car la défense promet des rebondissements dignes d’un marathon radiophonique. Des invités surprises viendront tour à tour témoigner, dans l’espoir de redorer l’image de l’animateur. D’ailleurs, on murmure que son avocat aurait prévu de lancer une séquence d’interviews exclusives, histoire de détendre l’atmosphère entre deux plaidoiries. Les plus optimistes parlent même d’une animation musicale pour alléger la salle d’audience, ce qui ne serait pas du luxe après des heures de débats ronronnants. D’un côté, certains estiment que la lumière médiatique pourrait encourager d’autres animateurs à surveiller leur langage hors antenne ; de l’autre, on craint que la vérité ne se dilue dans le spectacle, comme un micro coupé en pleine envolée lyrique. Quoi qu’il en soit, la date est fixée et les billets virtuels pour assister à l’affaire se vendent déjà comme des pains au chocolat un dimanche matin : c’est dire si ce procès, à la frontière entre faits divers et grand show hebdomadaire, fera vibrer la France entière.