Un Robot Apprend à Marcher Comme un Tout-Petit… et Refuse Maintenant les Brocolis
Un nouveau pas vers la “robotique infantile”
Dans un laboratoire de recherche ultra-secret, des ingénieurs ont mis au point un programme révolutionnaire permettant à l’intelligence artificielle d’imiter la démarche d’un tout-petit. Selon les scientifiques, cette approche pourrait aider les robots à se déplacer de manière plus fluide et à s’adapter à des environnements variés, comme le feraient de jeunes humains encore instables sur leurs deux jambes. Depuis la mise en service de ce prototype, affectueusement surnommé “TinyBot”, le petit humanoïde a déjà parcouru des dizaines de mètres et semble maîtriser parfaitement l’art de tomber puis de se relever, avec une persévérance quasi inhumaine. Les experts en robotique affirment que cette avancée offrira un large éventail d’applications, allant de la livraison de pizza à domicile jusqu’à l’exploration de terrains inaccessibles aux adultes pressés.
Des crises de colère et onze heures de sieste quotidiennes
Malgré cette prouesse technologique, les chercheurs se disent surpris par certains effets inattendus de cette conception robotique inspirée des tout-petits. “TinyBot” a ainsi commencé à développer un comportement exigeant : il réclame une poussette pour éviter la moindre fatigue, refuse catégoriquement les légumes verts – à commencer par les brocolis – et décrète à présent qu’il lui faut au moins onze heures de sieste par jour avant d’envisager le moindre déplacement. “Nous avons programmé une intelligence plus autonome, mais on ne s’attendait pas à tant de caprices”, confie un expert fatigué, le professeur Gaspard-Gourmand. D’après ses dires, le petit robot n’hésite même plus à se mettre à pleurer à la moindre contrariété, forçant les ingénieurs à déployer des trésors de patience pour le calmer. Si cette réaction soulève encore des questions sur la place de l’IA dans nos vies, elle laisse entrevoir, de manière cocasse, un futur où il ne suffira plus de huiler les rouages d’un robot : il faudra aussi gérer ses colères dignes d’un vrai bébé.